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Le covidiste face aux preuves

Nicolas SARKOSY a dit : « Ce n’est pas la réalité qui compte mais la perception de la réalité ». On y reviendra.

Pour ne discuter que des deux mesures principales face à la Covid19.

Le port du masque, au hasard…

Si les virus sont volatiles ou aéroportés, la contamination dépend essentiellement de la charge virale contenue dans l’air localement autour du sujet. D’un seul coup, on peut se demander à quoi servent les masques en extérieur ! ??? Aussi et surtout, les masques chirurgicaux, pourtant bien plus efficaces que les masques en tissus, filtrent seulement 95% des particules mesurant plus de 3 microns. Les virus, eux, ont une taille comprise entre 0,01 et 0,3 microns.

C’est approximativement en moyenne comme si vous vouliez arrêter des balles de golf avec un filet d’une maille de 50 cm par 50 cm. J’espère que le filet n’est pas censé vous protéger ! N’allez pas croire non plus que la taille est le seul facteur. Non, le masque n’arrête pas non plus les balles de golf ou boules de pétanque. Il faut le préciser, les covidistes pourraient se faire mal !

Le pire, c’est noté sur les notices des paquets des masques : « ne protège pas des contaminations virales ou infectieuses ». Cela dit, le gouvernement a fait enlever cette mention sur les nouveaux paquets à vendre. Malins les gars !

Pour les plus obstinés, pour se convaincre que le masque protège, vous diront « Oui, mais les virus ne se transportent pas seuls mais avec de micro-gouttelettes… » blablabla…, NON les gouttelettes ne retiennent pas les virus. Voyez comme une seule expiration cause de la buée dans un verre. Comment croyez-vous que serait votre masque en à peine 5mn ? L’est-il ? Et même mouillé l’air passe, moins bien au travers du masque, mais passe quand même ! Les virus avec…

Ce ne sont que des données physiques. Elles ne sont pas contestables. Et pourtant….

Le masque est en réalité une bombe bactériologique. On le touche en permanence ! Pour le remettre en place, pour vérifier s’il est bien là, pour montrer qu’on le porte bien comme il faut, comme on nous l’a dit. « C’est bien. Tu es bien sage, tu veux un susuc ? »

Patate !

L’expiration a plusieurs fonctions :

  • Rejet du CO2

Le port du masque peut donc induire selon la ventilation de la pièce, la température, une moins bonne oxygénation.

  • Rejet de bactéries, microbes et autres déchets (micro-organismes…) liés aux principes de la respiration

Ceux-ci, plus gros que les virus, s’accumulent dans le masque.

Pensez-vous qu’il est bon pour la santé de potentiellement réinspirer des éléments dont le corps ait voulu se débarrasser ? En plus de ceux que l’on met avec nos mains sales !

D’ailleurs, c’est pour ça que l’OMS, pourtant pro-pandémie, dans son rapport du mois de juillet : « On ne dispose pas encore de données factuelles directes de qualité qui atteste de l’efficacité du port généralisé du masque par des personnes en bonne santé dans la communauté… il faut procéder à un bilan des avantages et des inconvénients à cet égard… . Les masques médicaux, chirurgicaux FFP N95 doivent être utilisés seulement par des professionnels de la santé ou soignant et seulement face à des malades présentant des symptômes. »

Mais bon, ça, ça ne fait pas les affaires de tout le monde ! Alors, on ne le communique pas.

Le covidiste répondra à tout ça : « Mais t’as pas vu ce qui se passe dans les urgences… ». Oh mon dieu ! La raison lui échappe. Je vois mal comment quelque chose qui ne sert à rien, pire, occasionne potentiellement des infections bactériennes pulmonaires, officiellement on ne les compte pas mais il y en aurait eu plusieurs centaines, qualifiées bien sûr plus tard de Covid19, peut désengorger les urgences ? Ce serait plutôt le contraire !

 

Le confinement…

Alors là c’est pareil. La logique ou raison est emportée par l’émotion, la croyance, la docilité…

À fortiori, enfermer des gens malades avec des gens sains, ne peut que faire accroitre plus rapidement la proportion de malades. Plongé dans un environnement avec une charge virale importante, le sujet sain n’aura pas le temps de faire en sorte de,

  • Soit produire des anticorps qui représente environ 10% de nos défenses immunitaires humorales
  • Soit renforcer ses défenses cellulaires (90%), par les lymphocytes B et/ou T

Impossible de faire entendre raison au covidiste. Pas plus que pour les masques. En plus d’être covidiste, il est « confiné ». À ce niveau, c’est un pléonasme.

Heureusement la preuve en image. Oui, nous avons de la chance, il y a, malheureusement qu’un seul exemple en Europe : la Suède. Sa politique a été de ne rien faire. Cool, hein ? La liberté, celle qui est faussement chérie par tout le monde y compris les covidistes… Y-aurait-il eu qu’un seul gouvernement intelligent sur la planète ?

Toujours est-il qu’à partir des sources officielles (https://www.worldometers.info/coronavirus/) , on observe :

En France,

En Suède :

Si l’on compare la première moitié des 2 courbes (remarque pour le covidiste : il faut tenir compte de l’échelle !), on s’aperçoit qu’en France, il y a eu des pics très forts pendant la période de confinement parfois faisant plus du double du nombre de morts quotidien attendu, justement là où le confinement était censé faire effet, même bien après la période d’incubation ! Oh ben ça alors, quelle surprise !

En revanche, en Suède, la courbe s’étale jusqu’à presque fin-juillet, pour un résultat quasi identique en nombre de morts par million d’habitant in fine, ce qu’était censé faire le confinement !

Comme on dit dans mon village : « la messe est dite ! »

Pour les secondes moitiés des courbes, si l’on on se contente de les observer telles qu’elles, on s’aperçoit que la « seconde » vague en Suède est d’une amplitude en moyenne sur les 2 derniers mois, environ 2 fois inférieure avec une forme en cloche comparée à celle de la France qui toute proportion gardée a une structure beaucoup plus plate et un nombre de morts au moins équivalent à la première vague à l’inverse de la Suède, ce qui laisserait entendre qu’évidemment l’immunité collective en Suède ait joué davantage son rôle.

Que voulez-vous, la logique, la raison n’a plus sa place dans ce bas monde !

Le covidiste rétorquera : « Mais comment tu voulais faire autrement ? ». Alors là, les bras m’en tombent ! Plus confiné que ça, tu meurs ! C’est sûr, qu’adopter la politique du pire était sans doute la meilleure chose à faire !

Pour analyser plus précisément la seconde partie des courbes, il faut mettre en perspective l’analyse du nombre des cas.

En France, le nombre de cas (pas de malades ou morts) explose ! :

Notre minus Véran (la racine latine lui va si bien!) explique que l’on fait désormais 280 000 tests par semaine, ce qui représente 40 000 tests par jour. Pas rien ! Alors là, il faut bien l’avouer quand on sait ça, on observe que depuis mi-octobre jusqu’à mi-novembre on a presque 100% de tests positifs dis-donc ! Des fois, bien plus. Trop balaise !

Bon il faut savoir, au moins une petite chose en plus.

D’abord, l’inventeur des tests d’amplification en chaîne par polymérase dits PCR, le prix Nobel de chimie 1993 Kary Mullis avait de son vivant fait savoir que le test PCR ne permettait pas de détecter une infection virale. Je dis bien de son vivant parce qu’il est mort mystérieusement au mois d’août dernier comme par enchantement ! C’est bête, hein…

« Mais enfin bon, admettons » à la Jean-Marie Bigard dans le sketch de la chauve-souris, hihihi… Voyez-vous, les fameux tests PCR, jusqu’au mois de juillet étaient amplifiés à 25 fois contre 30 recommandé. Conséquence, on pouvait avoir de faux cas positifs, certes, mais aussi beaucoup de faux négatifs. Ça laissait l’opportunité d’avoir un taux de mortalité très élevé. En même temps il fallait faire peur. Bouh !

Et puis comme il n’y a plus eu de mort ou trop peu de la Covid19, comme annoncé à la sortie du confinement pour prétendre à une seconde vague, attendue, puis encore attendue…  du coup, on nous a focalisé sur les cas positifs, puis après sur les cas contacts ! Mais qu’est-ce donc ? Ben oui, c’est tellement plus pratique.

Et donc depuis le mois de juillet, les tests PCR sont amplifiés de 45 à 50 fois ! En théorie, cela induit qu’il y ait 95% de faux cas positifs. Mais comptabilisés comme vrais, évidemment !

Le covidiste répondra : « Pffff, on n’en sait rien. C’est de la théorie ».

Mais là encore une fois, on a un exemple : les anglais ! Ils ont été assez cons pour faire le test grandeur nature. À Liverpool, il y avait un taux de cas positifs tellement hallucinant, 13,3% de la population en même temps (car il faut bien vous dire une chose, avec un R0 à 2 (R0 si bien expliqué dans l’article https://temoignagefiscal.com/le-coronavirus-ou-le-mange-cailloux/), on a déjà tous était contaminé par la Covid19 au moins 1 fois), qu’ils ont fait appel à l’armée et forcé la population à se faire tester avec des tests antigéniques, bien plus fiables. Oui, l’armée a des tests antigéniques et l’hydroxychloroquine aussi et nous les tests PCR et le Remdésivir qui tue. On l’a vu partout dans la presse… Résultat ? Il n’y avait plus que 0,7% de cas positifs, soit seulement 5,3% de vrais cas positifs comparés aux cas positifs des tests PCR. Pour le coup, silence radio. Bien entendu…

C’est chiant quand la réalité colle à la théorie. Hein ?

Et puis cas positif ne veut pas dire malade et encore moins mort !

On en déduit facilement que depuis juillet presque tous les morts déclarés Covid19, cas positifs n’en sont pas, comme on ne peut plus dire que les urgences sont blindées de cas de Covid19.

Si en plus vous vous dites que quand bien même testé positif, la Covid19 n’est pas forcément la cause de la mort…, ça ne laisse plus beaucoup de place à la dangerosité de la Covid19 !

D’ailleurs comment pourrait-il en être autrement ?

Tous les ans à la même période, à partir de mi-octobre, les urgences sont saturées. Et si cette année, il y a 85% de cas de Covid19 (annoncés), où sont les cas d’urgence habituels ? !!!

Ben c’est vrai, cette année contre entre 10 000 et 14 000 morts de cas de grippe, il n’y en a eu que 72 !

Et les morts liés aux infections virales pulmonaires ? 60 000 par an. Disparus ! Les bronchites, les pneumonies, les rhumes… tout ce qui touchait des millions de personnes par an ? Comme la Covid19 peut toucher tous les organes, même le mec qu’a la chiasse, c’est la Covid !

La pandémie de Covid19 ne se serait-elle pas en réalité une pandémie de test PCR ?

D’ailleurs, cela fait l’objet d’une plainte pour crime contre l’humanité menée par le Dr Reiner Fulmich, avocat allemand. Vérifiez !

« Je vois des jeunes mourir… dans les hôpitaux… », avec son petit numéro Véran qui déboule à l’assemblée, cré cré en colère tout rouge, laissant ainsi supposer qu’il y en a des milliers. Heil Véran !

Savez-vous combien il y a de morts de la Covid19 de moins de 30 ans en France depuis le début ? 28. Des candidats poly-symptomatiques… Bref à regarder les courbes, il n’y a rien d’anormal.

Avec un âge médian de mortalité des Covid19 à 84 ans et une espérance de vie à la naissance de 79 ans, ne serait-il pas normal finalement de mourir de ça ou d’autre chose sachant que toutes les autres maladies ont disparu selon les tests PCR ?

Il est étonnant de constater que des décès, qu’ils aient été causés par un accident de voiture…, une fois testés, si le test est positif, ils sont comptabilisés Covid19. Plusieurs plaintes rapportées au ministère de la santé ont déjà été enregistrées par centaines. Si si, allez-y vérifiez…

https://youtu.be/nvzgPVha3hs  (1mn 21s)

Une petite vidéo plus sérieuse de 2m39s du Prof. Christian Perronne, Chef de service des maladies infectieuses de l’hôpital Raymond-Poincaré à Garches expliquant l’intérêt vénal à diagnostiquer des cas positifs :

Mais aussi, diffusé sur LCI :

Enfin…, le test PCR, pour qu’il ait une véritable signification, quantitative, il aurait fallu avoir développé des contrôles des positifs sur des patients. Nos positifs sont juste basés sur des dilutions de molécules donc il n’y a pas d’indication physiologique donc ne sont pas équivalents à une charge virale. Se faire tester sans symptômes ne sert à… rien.

Et quand bien même on a des symptômes et qu’on est positif, il n’y a pas de protocole ! En même temps l’état s’est tellement acharné à décrédibiliser certains traitements, qu’il n’est plus possible d’en avoir un.

Une anecdote quand même… Une personne plus ou moins proche, paniquée par la Covid19 crie « je vais mourir… ». Mal de tête, température, toussote un peu et bien évidemment perte du goût. Bref la totale. Va voir son médecin… refuse de diagnostiquer quoique ce soit… boum, direct au test. Pas de bol, test négatif. Pourtant avec 95% de faux cas positifs… le médecin recommande un nouveau test pour être sûr. Re-test négatif. Ils sont nuls ces tests de merde ! Le médecin finit donc avec toutes les précautions d’usage par l’ausculter. Bilan une sinusite ! Une maladie de plus qui n’existe plus dans le vidal dis-donc !

Et si par malheur vous devez être hospitalisé et que le test PCR est négatif, hop radio des poumons. À partir d’un certain âge, qu’on ait fumé ou pas… ce serait étonnant qu’il n’y ait pas une tâche quelque part. Oh ben là, dans 100% des cas vous serez estampillé Covid19 ! Et paf, un de plus. Alors pour m’être intéressé à l’imagerie médicale (en rapport avec les probabilités), je pose la question : quelle est la différence entre une tâche sombre causée par « x » et une tâche sombre « susceptible d’être des suites probables d’une contamination par la Covid19 » ? Heureusement que le conditionnel existe, lui ! Réponse : la même différence qu’il y a entre un bon et un mauvais chasseur, pour reprendre le sketch des Inconnus !

Et puis il y a les confinés qui somatisent à mort ! Sans faire de vilain jeu de mots. En moins de 3 jours ils ressentent tous les symptômes… perte du goût, mal aux reins… Ce sont des confinés avec palmes. Euh pas celles pour nager mais celles de la légion d’honneur. Espèce de confiné ! À moins qu’ils aient fini par être hypnotisés ? On verra plus tard…

Bon alors, selon les sources officielles, voici l’évolution de l’indice de surmortalité sur les 4 dernières années :

À la lecture de ce graphique, I faut comprendre qu’en-dehors de la période où on a été confiné, rien n’indique une surmortalité. Il n’y a donc pas de pandémie au sens strict du terme. Sauf si l’on parle de cas positifs, pire de cas contact ! Bientôt, il suffira d’être vivant pour que vous soyez soupçonné d’être un « assassin » si vous ne portez pas de masque… Dès la naissance, hop en taule ! Non mais, sale bébé !

Aussi, ayant éliminé toutes les autres pathologies ou presque, pendant le premier confinement, les hôpitaux et cliniques privées vides, on estime à environ 75 000 morts, les personnes qui n’auront pas été diagnostiquées à temps ou prises en charge pour d’autres pathologies.

Mais alors la surmortalité, qui reste tout de même très relative, constatée pendant la période de confinement ne serait-elle pas plus dû aux mesures prises contre la Covid19 que le virus lui-même ? J’aime à penser que oui. La démonstration est triviale, sauf pour les covidistes. Je ne vous ferais pas l’affront de la faire ici.

Bon, donc depuis le début de cette épidémie, pour être plus propre sur le terme à employer, il n’y a rien de cohérent. Rien. Une dichotomie énorme entre la réalité, la lecture des données brutes, même officielles, et les informations diffusées exponentiellement trompeuse.

Je dis « brutes », parce qu’il y a fort à parier que les vrais morts de la Covid19 ne représentent pas beaucoup plus d’un tiers de ce que nous comptons. Sinon certain !

Personne ne conteste les recommandations toutes aussi plus grotesques les unes que les autres.

Personne ne peut nier qu’on nous a empêcher de nous soigner normalement. Le covidiste dira « mais on ne savait rien à propos de la Covid19 au début ! ». Pourtant le gouvernement en savait bien assez pour nous interdire tout ce dont on avait besoin, aspirine, anti-inflammatoire, corticoïdes… , pour notre bien ! Quelle attention, on n’en demandait pas tant.

Il avait même été également interdit de faire les autopsies. Faudrait surtout pas savoir de quoi on meurt vraiment !

On ne reviendra pas sur l’interdiction de l’hydroxychloroquine au profit du Remdésivir qui vous flingue les reins à coup sûr et de l’étude honteuse Recovery, ou de la publication The Lancet.

152 études montrent l’efficacité de l’hydroxychloroquine par un abaissement de la mortalité par 2 au minimum, à appareillage équivalent. Pour le covidiste, je répète « à appareillage équivalent » et s’il ne sait pas ce que ça veut dire qu’il cherche ! Ça le sortira de sa TV ou infos de merde reçues par BFM… et de tous ces poisons !

Site de référence officiel pour ceux qui ont un peu plus qu’un verre d’eau tiède entre les oreilles de covidiste : https://hcqmeta.com/ (1 chance sur 1 quadrillion que l’hydroxychloroquine n’est pas d’effets positifs). Covidiste relit au moins 2 fois pour être sûr d’avoir compris le sens…

Entre les faux morts du Covid19 et le fait qu’on nous ait empêcher de nous soigner, nous aurions dû avoir entre 5000 et 10000 morts de la Covid19 ! Qui plus est, des morts de substitution par rapport à d’autres virus ou maladies compte tenu de la surmortalité (cf analyse au-dessus pour le covidiste qui a la mémoire d’un poisson rouge au profit de profondes croyances…).

Ah ! Une petite parenthèse, la vitamine C, D, zinc, magnésium… marche très bien en plus, d’aérer son logement, de se laver (pour de vrai), un minimum d’exercices physiques… enfin des trucs tout bête. Comme moi ! Sans être confiné, je dois bien être un peu con sur les bords. Si si, vous comprendrez un peu plus tard…

Une autre petite précision, le corps est pour moitié constitué de cellules humaines et l’autre de… bactéries, microbes, virus en tout genre. Ce qui fait que notre système immunitaire fonctionne est que notre corps est en permanence attaqué par les virus…  Vouloir se protéger, ne plus être en contact avec les virus… serait de fait affaiblir notre système immunitaire.

C’est ce qui explique que selon votre état de santé vous serez sensible à un virus comme la Covid19, la grippe, un autre coronavirus comme le rhume… ou pas. Si on vous teste pour savoir si vous êtes infecté par le virus d’un rhume, il y a 1 chance sur 2 pour que vous le soyez, sans pour autant que vous en soyez malade !

Alors, votre patrimoine génétique fera de vous quelqu’un de plus ou moins résistant, certes, mais ne pas admettre que de ne pas prendre soin de soi est un facteur aggravant, c’est vouloir, une fois de plus, ne pas engager sa propre responsabilité. Pourtant, il n’en fait aucun doute.

Si vous ne faites plus d’exercices physiques, vos muscles fondent.

Si vous ne réfléchissez plus, vous devenez covidiste ou confiné au choix.

Et s’il y a bien une chose à accepter aussi, c’est de vieillir. Devenant plus faible, on finit par mourir, d’une maladie, d’une bactérie, d’un virus, parfois même aussi insignifiants soient-ils ! Surtout à 84 ans et plus !

Parce qu’une réalité saute aux yeux aujourd’hui, comme prévu au mois de mars, la Covid19 (SRAS COV 2) est devenu un virus insignifiant comme le SRAS COV 1 (2001), qui a pourtant fait plus de morts (réels) et lequel a été régulé de manière naturelle, sans aucun vaccin…

En revanche, c’est la loi des virus, s’il est moins virulent, il sera plus contagieux… C’est une loi naturelle lié à la survie de chaque espèce, même si le virus n’en est pas une.

Donc il faut être complètement confiné, pour se focaliser sur la contamination, les tests, puisque le virus fera moins de malade et par conséquent moins de morts jusqu’à ce que cela tende vers zéro, comme tous les autres coronavirus.

Mais ce sera le prétexte avancé pour la vaccination. On fera la même allégorie au sujet de la Covid19 que pour… la tuberculose par exemple. La tuberculose faisait 35% de morts. La Covid19 0,05% selon la « police » à 0,01% selon la réalité… Je vous laisse réfléchir sur son utilité sachant que cela tend vers 0.

 

Enfin le plus intéressant…

Nous disions « Ce n’est pas la réalité qui compte mais la perception de la réalité » – Nicolas SARKOSY.

Oui, parce que tout de même, la vraie question est : comment se fait-il qu’il y ait autant de covidistes ?

« Il ne faut pas sortir de Saint-Cyr » pour se rendre compte que globalement toutes les mesures prises contre la Covid19 n’ont été qu’aggravantes et que la dangerosité réelle de ce coronavirus est désormais quasi nulle.

Ah, je sens bien qu’en disant ça, devant la démonstration précédente, le covidiste était un tantinet septique, mais que là, d’un coup, la conclusion n’est pas possible.

C’est l’effet d’ancrage. L’idée se transforme en mème. https://temoignagefiscal.com/le-meme-du-coronavirus/

De la même manière que l’on créé le tube de l’été !

Mais qui sont ces covidistes ? Parce qu’il y a pourtant parmi eux des gens qui ont fait de hautes études ! Si si, même parfois polytechnique, l’ENA… même médecine ! Même chez cette élite supérieure, au moins 75% d’entre eux sont covidistes.

Ah, pardon, « je m’a gouré ». L’énarque, lui, il sait tout. Quand il a fini sa réponse, on ne sait plus quelle était la question, mais il a raison, c’est sûr. Glups ! C’est l’enavirus. Pour le coup, il n’y a pas encore de vaccin et celui-ci serait pourtant bien utile !

Avec cette histoire de Covid19, on tombe dans le simulacre de Platon. Il n’y a plus que des débats d’opinions. On s’éloigne de la raison vers la croyance. Et les croyants, comme on l’a vu, font systématiquement diversion.

Les foules sont plus sensibles par l’émotionnel que le rationnel… cela réduit drastiquement l’intelligence individuelle. On ne réfléchit plus ! On devient covidiste ! C’est valable pour toutes les religions d’ailleurs…

Personne ne vérifie les faits, surtout pas les journalistes d’ailleurs, des faits partiellement exposés. On est dans la tromperie. Et ça marche !

Comment ?

Pêle-mêle, des idées pour expliquer que les hommes ne résistent pas à l’idée de conformité qui font d’eux des fascistes.

L’expérience de Asch sur le conformisme (1951).

Il s’agit de mesurer l’influence du groupe sur l’individu. L’individu seul face à un test à reconnaître des évidences aura dans 99% des cas fait un sans-faute. En revanche, ce même un individu au milieu d’un groupe (acteurs) répondant volontairement de fausses réponses, seulement 25% des sujets commettront un sans-faute, avec un taux de 30% de mauvaises réponses. Les sujets étant débriefés à la fin de l’expérience, certains étaient intimement persuadés qu’ils avaient toujours donné la bonne réponse. D’autres avouaient s’être laissés convaincre par l’opinion unanime du groupe ; et enfin certains avaient la bonne réponse, mais ne voulaient pas dénoter par rapport au groupe. Cette expérience a été répétée plusieurs fois à différentes époques. On obtient toujours le même résultat.

L’expérience Milgram

Suite aux catastrophes endurées pendant l’Holocauste, Stanley Milgram s’est interrogé sur l’obéissance aveugle d’une grande partie des Allemands. Prenant le prétexte de réaliser une expérience, Stanley Milgram a demandé à plusieurs personnes de poser des questions à un homme soigneusement attaché à un générateur de décharges électriques. À chaque mauvaise réponse, les personnes devaient lui envoyer des décharges. Seulement, l’homme en question était un acteur et les chocs électriques étaient bel et bien faux. En revanche, les personnes choisies pour lui infliger ses punitions l’ignoraient bien évidemment. Le résultat de cette expérience a démontré que les cobayes, pour 75% des cas, ont obéi au doigt et à l’œil aux consignes de l’expérimentateur représentant l’autorité ; quand bien même l’homme attaché hurlait et pleurait de douleur et dont le seuil théorique de résistance à l’intensité mortelle approchait. Stanley Milgram en a conclu que les résultats étaient « inattendus et inquiétants ».

Vous allez penser « Quel gros con ce mec ! ». Oui parce que de ces expériences, j’en tire la conclusion qu’environ 75% d’entre nous sont bien structurés pour devenir de vrais fascistes. Et alors pour ceux qui aspirent à prendre le pouvoir (élus, hauts fonctionnaires…) on approche les 100%.

Pour vous en convaincre, on continue ?

La troisième vague

Cette expérience, similaire à celle de Milgram, consistait à étudier les mécaniques sociales du fascisme lors de la Seconde Guerre mondiale. Le Professeur Ron Jones mena l’expérience sur une classe entière de lycéens. Il fonda au sein du groupe d’étudiants un mouvement idéologique mettant en avant les mérites de la discipline et de la communauté. Les étudiants se sont montrés motivés et déterminés, plus attentifs également en cours et ont manifesté des signes de rejet envers ceux qui ne suivaient pas comme il se devait le mouvement instauré, ces derniers étant appelés « La Troisième Vague ». Le Professeur Ron Jones s’est vu obligé d’arrêter son expérience au bout du 4e jour voyant que cette dernière lui échappait complètement.

L’expérience de la prison de Stanford

Un groupe de 24 personnes sélectionnées pour n’avoir aucun antécédant… se prêtent au jeu de jouer aux prisonniers et aux gardiens dans des conditions réelles. Les résultats montrent que les prisonniers deviennent rapidement apathiques. L’auteur ne pensait pas que cela pouvait se passer dans une situation de jeu et les résultats sont allés bien au-delà de ses attentes. On note que c’est la définition de l’environnement social qui structure les conduites et les perceptions jusqu’à un point que nous sous-estimons. Gardes et prisonniers reproduisent la plupart des comportements avilissants que l’on peut rencontrer dans de vraies prisons.

Ne voyez-vous pas des similitudes avec ce que nous vivons aujourd’hui ? T’es complétement confiné ou bien ?

Malgré l’expérience du premier confinement, environ 75% des français (décidément, ce chiffre est persistant) selon les sondages étaient pour le second confinement.

Pour le premier, si peu étaient soit suffisamment intelligents et lucides à la fois pour comprendre que ce serait une catastrophe, à postériori, pour le premier, la catastrophe est pourtant belle et bien démontrée. Seulement c’est toujours pareil, admettre qu’on a eu tort, surtout dans ces conditions, ce n’est pas facile. Les plus salauds feindront de l’ignorer pour en remettre une couche ! Et c’est exactement ce que fait chacun à la hauteur du pouvoir qu’il représente.

Comment peut-on accepter un tel désordre, chao, économique, psychologique, sociologique pour… rien !?

En 10 points ce que l’on appelle l’ingénierie sociale :

Au début en février, rappelez-vous : « Le coronavirus, n’est pas dangereux » en regardant ce qui se passe en Italie. « Les masques ne sont pas utiles mais ne vous inquiétez pas nous montons en urgence un comité scientifiques » en montrant des scientifiques avec combinaisons intégrales comme s’il s’agissait du virus Ebola. C’est un double discours qui crée en réalité une dissonance cognitive et le peuple trouvera des réponses du bien-fondé des mesures gouvernementales complétement absurdes que lui-même va demander. Pour bien enfoncer le clou, on va même jusqu’à provoquer une frustration en créant le manque, la pénurie tel que le peuple sera avide de mesures de sécurité quand bien même fussent-elles liberticides ou absurdes tant raillées mais bien observées, jusqu’à la délation, pour toujours bien faire partie du groupe. Le masque ne sert à rien mais il se voit. C’est rassurant… pour les covidistes uniquement.

Edward BERNAYS écrivait en 1928 Propaganda « Comment manipuler l’opinion en démocratie ? »

En bref, en 10 règles :

  1. La distraction

La télé par exemple, elle distrait et met en état d’hypnose ! Sans savoir pourquoi on continue de la regarder.

Les informations répétées, aussi absurdes, finissent par rentrer dans le crâne.

Plus subtilement, il faut détourner l’attention de la nation et défaire les identités.

On diffuse la désinformation de manière complexe

  1. Créer un problème pour mieux le résoudre

Par exemple, on laisse monter l’insécurité pour mieux arriver comme un sauveur.

Il faut comprendre que nous avons 4 grands fantasmes fondamentaux :

L’intérêt matériel immédiat

La peur, aujourd’hui celle d’un virus invisible donc parfait pour disséminer la peur

L’érotisation, autrement dit l’envie

L’agressivité

La peur et l’envie étant finalement les deux principaux moteurs.

  1. La dégradation progressive

Autrement dit, le fascisme progressiste.

Il s’agit de vous donner des informations au compte goute pour que petit à petit vous acceptiez ce que vous auriez refusé si on vous avait tout dit d’un coup. C’est le coup de la grenouille que l’on met dans l’eau que l’on fait réchauffer progressivement. On s’habitue.

La vie normale ne pourra être retrouver qu’à partir du moment où il y aura un vaccin. L’idée du vaccin admise… Le vaccin étant ce qu’il est, il faudra continuer les gestes barrières, porter les masques et probablement faire de nouveaux confinements… Et ainsi de suite… et le bon peuple oublie, devant la télé…

NB : c’est exactement de cette manière que grossit notre administration, petit à petit comme le cancer. L’administration ne peut être par nature que fasciste et c’est bien pour ça qu’il faudrait ne lui laisser aucun pouvoir. Ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui.

  1. La stratégie du différé, le « on s’en occupera »

On s’occupe de la « pandémie », on s’occupera de l’économie plus tard (sachant que l’économie ne se maîtrise pas) et le plus tard ne viendra donc jamais.

En revanche les lois liberticides… pleuvent… comme le fichage (encore 3 nouveaux décrets), l’interdiction de filmer, de s’exprimer, on ne compte plus les articles, vidéos censurés par des organismes dits indépendants…, des articles mêmes scientifiques disparus de la toile prouvant que la science n’est plus que politique…, on interne ce qui ne pensent pas comme l’omerta en hôpital psychiatrique…, on décrédibilise les autres…

Les parlementaires n’ont même plus la parole s’ils ne vont pas dans le bon sens. Le gouvernement impose.

En bref, bien qu’un mal nécessaire, la démocratie ne fonctionne plus. Il y a une concentration des pouvoirs. Nous sommes en dictature.

À l’ONU, les rapporteurs aux Droits de l’Homme s’inquiètent pour le respect de plusieurs libertés fondamentales en France presque exclusivement : https://flip.it/ngRah6

  1. S’adresser au public comme à un enfant en bas âge

On vous fait culpabiliser. Vous ne mettez pas votre masque même s’il ne sert à rien. Mais c’est une mesure qui se voit qui donne l’illusion.

Et si vous agissez mal, vous serez puni, banni du groupe, sans compter l’amende !

  1. S’adresser à l’émotionnel

Le virus devenu insignifiant, on entretien la peur de mourir. Il faut obéir comme on nous l’a appris depuis l’école… et avant. On agit sur la culpabilité, encore et encore…

  1. Encourager le peuple à se maintenir dans la bêtise et l’ignorance

L’esprit critique est anéanti par les normes, les procédures, la normalisation… le big data… Si vous n’êtes pas spécialiste du domaine, quand bien même la question ne relèverait que du simple bon sens, vous n’êtes pas autorisé à donner votre avis même fusse-t-il issu d’une démonstration logique.

On applique le formatage de tous les modes de communication. Aujourd’hui, on ne peut être que covidiste ou complotiste. La pensée devient binaire. Débile ? Oui.

  1. Se complaire dans la médiocrité

On a besoin de se sentir appartenir à un groupe. Pour bien comprendre selon la pyramide de Maslow :

  • Besoins physiologiques primaires (boire, manger et dormir).
  • Besoin de sécurité (peur de mourir), inhibe la raison au profit de l’émotion.
  • Besoin d’appartenir à un groupe, à mettre en perspective les expérience de Hash, Milgram… . Avec le masque on fait d’un groupe une succession de personnes détachées des unes des autres. Si tu ne mets pas de masque alors tu seras banni du groupe, allant jusqu’à la délation par ceux qui souffrent des mêmes maux que nous.
  • Besoin d’estime de soi. La culpabilisation est un sentiment qui au contraire détruit. Elle rend docile.
  • Besoin de réalisation de soi, dans une économie détruite, ça devient plus compliqué.

Une économie prospère, permet de réaliser tous ces étages.

  1. Remplacer la colère par la culpabilité (encore)

Seriez-vous égoïste au point d’être responsable de la mort des gens qui vous entourent, que vous aimez, que vous croisez ?

  1. Les humains n’aiment pas le changement

Pour faire admettre le changement, il suffit d’un choc pour imposer de nouvelles normes. Faire admettre que nos habitudes ne sont pas les bonnes.

Diviser pour mieux régner. Pro-masques vs anti-masques, distanciation sociale. Le virus est l’alibi parfait, parce qu’invisible.

En ingénierie sociale, il existe d’innombrables essais sociologiques concernant la manipulation de masse. Nul doute que nos hommes du pouvoir en aient fait à un moment donné ou à un autre leurs livres de chevet.

Avec tout cela, les gens sont perdus et pour ne pas être rejeté du groupe, ils s’autocensurent pour se conformer à ce qu’ils croient être la pensée du groupe, les médias reflétant en principe l’opinion publique. Avide de sensationnalisme, au début sans forcément trop y croire, la population en redemande. La presse fournit quitte à distiller de fausses informations ou trompeuses. Vient alors l’encrage. Les politiques encouragés, voulant avant tout être réélus, s’exécutent et renchérissent encore plus le mouvement pour conforter leur pouvoir. Un vrai cercle vicieux. Nos élus, hauts fonctionnaires jouissent de leur pouvoir et le covidiste est rassuré.

Que tout cela se produise de manière concertée, planifiée (thèse complotiste) ou de manière naturelle, tant la bêtise des gens du pouvoir et de la population est insondable, cette manière de gouverner et de convaincre le bien-fondé des mesures prises que la population n’aurait jamais acceptées normalement est inacceptable.

Les covidistes sont par nature, des fascistes qui s’ignorent. Des égoïstes, des salauds incapables de prendre une quelconque décision, assumer une quelconque responsabilité. Des lâches.

Toute la magie de notre « chère » administration.

Dans la hiérarchie, chacun obéit se croyant à l’abri et espérant pouvoir tirer parti de quelques avantages. On monte des comités pour prendre des décisions… à plusieurs. Pas de responsabilité.

Il y a ceux qui obéissent, et pire, ceux qui sont partie prenante, comme les élus (députés, maires… et surtout les préfets), directeurs d’établissement publics (hôpitaux, établissements scolaires…) et mêmes des grandes entreprises (des PDG aux différents directeurs et managers…).

On se conforme tant à ce que l’on croit être l’avis du groupe, que cela fini par le devenir. C’est un phénomène auto-réalisateur.

Et plus on se sent en sécurité (comme les fonctionnaires ou assimilés comme dans les grandes entreprises) et/ou plus on se trouve haut dans la hiérarchie (plus les salaires sont importants) ce qui confère une certaine sécurité également, plus bien souvent on est un covidiste convaincu, incapable d’anticiper quoique ce soit perdant tout le sens des réalités, en somme le bon sens. Le confinement ne les inquiète pas… il ne change rien sinon même les covidistes peuvent en profiter. Après tout, 80% des gens occupés dans ces conditions font un travail qui ne sert à rien, alors rien ne changera… Ils peuvent se contenter d’écouter ce qui les arrange. Il y aura des exceptions bien évidemment.

D’autres en mal d’héroïsme ou de reconnaissance (comme ceux qui aiment le pouvoir, comme beaucoup de personnels soignants…) se feront un plaisir d’amplifier leurs actes avec zèle et finiront par croire à ce qu’ils ont envie de vivre. De vrais mythomanes.

À contrario, les plus fragiles, comme par exemple les plus anciens, souvent par jalousie, sont favorables aux mesures égalitaristes, comme le confinement… ils peuvent aussi fantasmer sur l’utilité d’un vaccin, lequel s’il était efficace, protégeant des virus, ceux-ci pourraient accroitre significativement leur espérance de vie. Il faut bien le dire, ils n’ont plus grand-chose à perdre, eux !

Bref, tout cela n’est que l’expression du comble de l’égoïsme, de l’orgueil, de la vanité ou encore de la jalousie. Tout cela au prix de la liberté.

Mais souvenez-vous des conclusions de l’expérience de Asch « certains étaient intimement persuadés qu’ils avaient toujours donné la bonne réponse », en analysant bien tous les effets de ce que l’on appelle l’ingénierie  sociale, ne serait-il pas possible que la population mondiale soit hypnotisée au point d’être victime d’une hallucination collective ?

L’état d’urgence sanitaire à induit une dictature. C’est un fait. L’histoire montre qu’en général, toutes les libertés prises par les hommes du pouvoir ne seront jamais restituées.

Jean-Paul Sartre : « Jamais nous n’avons été plus libre que sous l’occupation allemande ». Provocateur, c’était un appel à prendre position pour la résistance.

On créé un problème, le virus, en amenant la solution, le « vaccin ».

Covidiste, si tu es sincère, que tu as cru aux masques, aux confinements…, va te faire « vacciner ».

Oui, à plus ou moins long terme, le « vaccin » est une solution à condition qu’il ne soit pas obligatoire et que rien ne force à l’être pour vivre normalement. Après tout, s’ils sont efficaces, ceux qui se seront « vaccinés » ne risquerons plus rien de ceux qui ne le sont pas. Chacun doit être libre de ses décisions et convictions. Tant qu’il s’agit d’un acte consenti et éclairé, les bases du libéralisme… je ne vois aucun souci à cela.

En revanche, je ne trouve pas normal que ce soit l’État qui sélectionne pour toi, covidiste, le bon « vaccin ». Tu devrais être libre de tes choix. Sachant qu’ils ont chacun des particularités différentes, cela te permettrait potentiellement de cumuler les « qualités » de chacun… On n’est jamais trop prudent !

Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.

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La Covid19 ou la dictature hygiéniste (suite)

« La critique est aisée mais l’art est difficile ». C’est bien souvent le cas.

Mais alors, concernant cette « pandémie » version 2020 ou plutôt cette épidémie si l’on s’en réfère à la vraie définition du mot pandémie valide jusqu’en 2008, qu’aurait-il fallu faire ?

La réponse est nette : RIEN. C’est facile !

Avant de continuer cette discussion, il est impératif de voir cette interview de la généticienne Alexandra Henrion-Caude à un journal TV :

En toute neutralité, loin de la presse officielle, on sent cette femme sincère, parfois émue, sans complotisme qui fait le tour de manière explicative et argumentée et parfaitement compréhensible par tous, sur toutes les questions concernant la Covid19, ce que l’on en sait et les mesures prises.

Elle est un peu longue (49mn, il n’en fallait pas moins) mais vaut vraiment la peine d’être vue jusqu’au bout. Vous ne perdrez pas votre temps. J’insiste, d’autant qu’on ne s’ennuie pas du tout.

https://youtu.be/c3V6DxmOy8o

 

Voyez-vous, qu’il s’agisse de commerce, de santé, de justice, d’éducation… il s’agit en réalité d’interactions, d’échanges.

Dans un monde libre, fait d’échanges (à moins que vous soyez un ermite) et respectueux de chacun, ce vers quoi tout le monde veut tendre (je l’espère, même si beaucoup rêvent encore de privilèges…), il y a un principe de base du vivre en société qui est :

« L’échange mutuellement consenti ».

Pour qu’il puisse y avoir « échange mutuellement consenti », il y a une condition nécessaire : la parfaite information ou du moins la meilleure possible de sorte à ce que ni l’intérêt de l’échange, ni le niveau de prix, qui révèle le niveau d’utilité de cet échange en situation de concurrence, ne puissent être remis en cause.

La justice, dans la plupart des tribunaux du monde, au moins des pays évolués, on vous demande de dire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité. S’il y a une entorse à l’une de ces trois conditions, on peut aboutir à une fausse conclusion.

Soit dit en passant, la notion de parjure n’existe quasiment pas en France, une exception, une de plus, bien française, pour le principe de la plaidoirie !

Aaaah, ça, on parle et on chante même, les deux pieds dans la merde… et on fait des leçons de morale à tout le monde !

Et c’est pour ça que la justice profite davantage aux gens malhonnêtes qu’aux gens honnêtes en général dans ce pays. Étant souvent difficile de distinguer le vrai du faux, les magistrats coupent souvent la poire en deux, et de fait, l’honnête est lésé.

Mon premier article date du 20 mars 2020. Il était un cri de colère. Entre les informations divulguées par la presse et les chiffres même officiels, il y avait une telle dichotomie que je me demande encore comment les populations peuvent être aussi naïves. Médecins compris !

Pour être honnête, à force d’écouter BFM TV, envahi par mes émotions, j’ai eu moi-même un doute pendant 2 ou 3 jours, le temps de comprendre qu’il valait mieux aller à la source des informations et les analyser moi-même plutôt que de faire confiance aux communiqués officiels anxiogènes au point de ne plus pouvoir raisonner sereinement.

Nul n’est insensible à la théorie de Goebbels : « Un mensonge répété dix mille fois devient vérité ».

Ou encore, Vladimir Lénine : « Plus le mensonge est gros, plus les gens y croiront. »

Depuis le début, dans cette affaire, le seul devoir de l’État et l’unique aurait été d’informer la population avec de vraies informations. Comme celles contenues dans la vidéo plus haut et qui ne sont pas forcément spécifiques au Covid19. Aurait-il fallu qu’ils en soient capables ? Ayant, eux-mêmes, pour certains et je n’en doute pas, beaucoup de mal à comprendre, sans doute s’imaginent-ils que la masse est trop conne pour comprendre, ce qui est sans aucun doute faux. Ben oui, dans leur esprit, il suffit d’être élu ou nominé pour être compétent. Logiquement il serait souhaitable que ce soit l’inverse, mais dans la réalité, ce n’est pas le cas. Ils sont, de fait, bourrés de certitudes, pour ne pas dire abrutis.

Seulement voilà, force est de constater que nos hommes de l’État, prétentieux comme des poux, se sont appropriés le problème, se sont fait un devoir de le résoudre, chose dont ils sont objectivement incapables. Parce que c’est tout bonnement impossible !

En revanche, étant capables de dire tout et son contraire parfois même en moins d’une semaine, ils n’ont fait que mentir. Et aujourd’hui, on doit leur faire confiance ?

Quand il n’y avait pas de masque au moment où il aurait été potentiellement plus prudent pour certains d’en avoir, quand beaucoup toussaient par exemple, ils affirmaient qu’ils ne servaient à rien.

Maintenant qu’ils ont des stocks de masques à plus savoir qu’en faire, on fait croire qu’ils vous protègent, alors qu’en réalité, mal utilisés, ils sont nocifs ! Et c’est bien le cas aujourd’hui.

Leurs informations, recommandations, règles dépendent exclusivement de ce qu’ils ont à nous vendre. Le pire, est que certains d’entre eux finissent par se convaincre eux-mêmes qu’ils font le mieux pour nous. De vrais mythomanes !

À ce sujet, je vous recommande un livre de Jean Sérisé, ancien Directeur de cabinet etc… – « La France n’est pas seule au monde ou L’apprentissage de la vérité » écrit à 95 ans avec une longue expérience, de recul, de claire voyance et de sagesse, à cet âge, il ne risquait plus rien ; il était libre. Il nous démontre que les idées politiques se façonnent voire même exclusivement parfois selon le mode de scrutin. Le même homme politique, selon deux modes de scrutin bien différents aura sur certains sujets des idées parfois diamétralement opposées. Et ils arriveront toujours à se convaincre eux-mêmes que leurs idées sont les meilleures. Et ils en sont totalement inconscients ; c’est dire s’ils en ont des idées. Elle est belle la vie !

Alors ? Si nous avions été correctement informés,

Nous nous laverions, nous ferions du sport, nous mangerions un peu plus équilibré au lieu d’acheter des conneries…, nous ne serions pas stressés… Nous aurions un système immunitaire bien plus performant…,

Les supermarchés auraient trouvé des masques en moins d’une semaine,

Les médecins généralistes, libéraux et ceux du secteur privé, cliniques, nous auraient diagnostiqué et soigné avec ce qui leur semble être le meilleur traitement adéquat en fonction de la personne (fragilités…), avec de l’hydroxychloroquine ou autres…

Et donc les gens n’auraient pas été obligé de se ruer vers les hôpitaux seuls habilités. Ils auraient été traités avant que leur charge virale ne devienne critique au point de les rendre malades à un stade avancé….

Bref, la vie aurait continué… rien des catastrophes passées ou à venir, sanitaires ou économiques, n’auraient eu lieu…, la mortalité serait restée normale…

Mais l’administration nous a interdit tout ça. Elle nous a confiné : Prison !

Et si tu as plus de 70 ans, crève chez toi !

Il n’y a plus qu’une seule maladie : la Covid19. Donc si tu as autre chose : crève chez toi.

Un point positif, les études de médecine vont être vite faites ! En 6 mois, t’es médecin dis-donc ! À condition que tu veuilles bien servir que dans le public. Ça va de soi !

Aspirine, interdit. Anti-inflammatoire, interdit. Corticoïdes, interdit. … . Covid19 ou pas. Tout traitement est interdit.

T’as le choix entre l’hôpital ou… l’hôpital. En même temps, c’est plus simple.

Heureusement que le premier mot de la devise de la république française est « liberté » !

Le drame est que c’est finalement les français qui l’ont voulu le confinement !!! Beaucoup par la peur, d’autres parce que ça les arrange…, télétravail, envie de glander, chômage-partiel (ici on touche un problème de responsabilité individuelle non assumée),…

 

Seuls les hôpitaux publics ont donc été autorisés à diagnostiquer… et en plus c’est l’administration qui décidait des protocoles…. C’est cela qui crée la crise.

Les hôpitaux ne se remplissent pas, c’est l’administration qui les remplit. Et c’est toujours le cas. Il faut que ça se voit. Ils n’ont quand même pas fait tout ça pour rien !

Derrière tout cela, en réalité, se cache entre autres, la guerre du public contre le privé, « le diable, Mme Langlois » à la Bébel dans « Flic ou voyou ».

Et après, ils se sentent obligé de travestir la vérité, tricher pour tenter de faire illusion et montrer que ce qu’ils ont fait, était évidemment le mieux.

Selon si les médecins sont frappés du syndrome « mange-cailloux »

https://temoignagefiscal.com/le-coronavirus-ou-le-mange-cailloux/, l’idée que l’on voit ce que l’on veut voir inconsciemment ou celui de Goebbels ou Lénine (être un « scientifique » n‘y changera rien), certains, gonflés d’un sentiment de supériorité et/ou du désir d’être un héros, vous diront que les hôpitaux sont bourrés de cas de Covid19 et les autres, plus lucides que non, bien évidemment.

Nationalisez la distribution pour voir.

Si on laisse l’administration gérer les supermarchés, en moins de 3 semaines il n’y aura plus rien dans les rayons.

Ce n’est pas que chacun des fonctionnaires individuellement sont nécessairement mauvais, c’est que le système de l’administration est mauvais. Trop lourd. Il n’est pas adapté à la vie. Avec des formulaires, des protocoles… qui n’a rien à voir avec la vraie vie.

La vie est imprévisible. L’administration aurait donc la prétention de prévoir l’imprévisible ?

Vous virez la barre à tribord et le navire mais 20 ans à tourner. C’est pire que le Titanic !

On en a la pleine démonstration ici avec la crise du Covid19.

Et plus, ils voudront la gérer et plus ce sera long et pénible.

 

Le confinement n’a eu pour conséquences que d’avoir davantage de malades, alors que beaucoup n’auraient dû être qu’asymptomatiques et de faire durer le plaisir plutôt que d’avoir une immunité collective plus rapide et donc d’avoir pour conséquence de limiter le nombre de mutants.

C’est comme pour la circulation. Plus il y a de feux rouges et stops et plus il y a de bouchons et d’accidents graves.

Bref, les élus comme les hauts fonctionnaires sont d’une prétention redoutable à vouloir s’occuper de tout le monde. Parce que, encore une fois, c’est impossible. Pour la plupart, malheureusement, ne se rendant pas compte de la difficulté de la tâche, ils ne sont en réalité que des idiots, bourrés d’illusions.

Et cette maladie, la melonite, ils la chopent parfois dès l’école. Ils ne connaissent rien à la vie mais ils vont quand vous l’expliquer ! Là pour le coup, ce serait bien s’il existait un vaccin !

Et c’est bien là aussi le vrai problème. Leur statut acquis pour un temps, pour les élus, ou à vie, pour les fonctionnaires, plutôt que de sentir investit d’un mandat, ils s’approprient le pouvoir. Se sentant supérieurs par rapport à nous les autres gueux, les dérives fascisantes apparaissent en particuliers lorsqu’ils ont une vision administrative de la vie, comme nous l’avons déjà montré précédemment.

Les effets sur l’économie ne se font pas plus attendre.

En dehors, de l’explosion de la dette, des impôts, des règles écrasantes tuant l’entreprise… se dessinent d’autres effets pervers.

Plus l’administration est puissante et plus elle standardise l’économie tentant de la rendre plus simple à gérer pour son propre compte et donc tue la diversité. Bientôt, il n’y aura plus que des monopoles et oligopoles. Avec des prises de participations de l’État, ce sera la Russie !

Vous rêviez de liberté ?

Les politiques, eux, s’attachent à faire ce qui se voit. Ils préfèreront sauver 10 000 emplois d’une seule entreprise qui doit mourir à coup de montagnes de subventions parce que ça se voit, quand bien même les mesures prisent seront au détriment de 100 000 autres emplois de PME ou TPE à moyens termes tuées par l’impôt qui va avec, parce que ça, ça ne se voit pas !

Ce n’est pas magique, ça ?!

Le fait de confier le pouvoir de décision à l’administration, par nature, ne peut donc qu’engendrer des catastrophes à plus ou moins longs termes. Quel que soit le domaine ! Santé, économie, justice, éducation… tout !

Au risque de me répéter, de mon point de vue, il vaut mieux avoir de la richesse et de la sécurité dans une apparence de bordel, que de la misère et des morts bien administrés et/ou bien rangés.

 

Mettre des masques, ça vous rend malade sans que vous ne vous en rendiez vraiment compte. Mais ça se voit, l’État prend soin de vous. Alors souriez, ça ne se verra pas !

Et puis c’est une bonne mesure servant le bon vieil adage qui dit « diviser pour mieux régner ». Si vous portez un masque pour vous protéger et bien c’est que « « l’autre » représente une menace ». Sur le plan sociologique, destructeur humainement, les doctorants n’ont pas fini d’écrire des papiers à ce sujet !

J’en profite pour vous recommander un article très court parti d’une réflexion philosophique du livre “Le siècle des dictateurs”, sous la direction de Olivier Guez.

https://temoignagefiscal.com/oui-macron-peut-devenir-un-dictateur/

La Covid19 servira de prétexte pour réduire encore davantage nos espaces de liberté, notamment d’expression selon la loi Avia et de tous les autres dont nous avons déjà parlé et ceux à venir…

Castex remet le couvert…

Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.

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La Covid19 ou la dictature hygiéniste

Après le déconfinement, pas de rapport avec les cerveaux confits qui le restent, on attendait tous la seconde vague. Au mois de mai, rien. Au mois de juin, rien. Au mois de juillet, … on change pour la seconde fois la définition du mot « pandémie ». Ah, cette fois, ça va coller avec la réalité. Ouf !

Oui, il y a 12 ans, une pandémie était encore la propagation d’une maladie grave dans le monde entier qui entrainait des décès, en nombre ! En d’autres termes une maladie qui cause un accroissement significatif de la mortalité mondiale.

Depuis 2008, l’accroissement de la mortalité significative n’est plus une condition, il suffit d’être malade.

Et depuis le mois de juillet, comme la réalité ne colle toujours pas aux fantasmes de nos catastrophistes confits, il suffit d’observer l’accroissement du nombre de cas positifs à un test validé par nos autorités, sans voir forcément l’accroissement du nombre de malades, et encore moins de morts, pour déclarer être en situation de pandémie.

« Le nombre de cas positifs explose ». Bouh, j’ai peur.

Jusqu’alors, on n’avait jamais parlé de « pandémie » de grippe qui fait pourtant 500 000 à 800 000 morts par an !

Comme quoi, selon ce que l’on veut faire passer comme message, la sémantique a de l’importance !

Et oui, à peine plus d’un an après la première modification de la définition du mot « pandémie », c’était à l’hiver 2009-2010 qu’est née la soi-disante grippe qui allait tous nous tuer, selon les mêmes protagonistes qu’aujourd’hui, faire des millions de morts, la grippe porcine H1N1. Comme au début de la crise Covid19 ! Post crise financière de 2008, qui n’avait sans doute pas atteint profondément le moral des populations, la tentative d’intoxication a fait un flop. Pas pour tout le monde rassurez-vous.

Passé d’une crise financière à une véritable crise économique, acquise bien avant 2019, la plupart des pays occidentaux avec un ratio dettes/PIB (PIB qui ne veut pas dire grand-chose soit dit en passant (cf mon premier article du 20 mars : https://temoignagefiscal.com/cest-lhistoire-du-petit-coronavirus/), la Covid19 servira de prétexte. On y reviendra.

Bon, alors comme ça, toute la pandémie de la Covid19 ne tient aujourd’hui qu’à un simple test. Eh bien, testons sa pertinence…

Le test le plus communément admis est le fameux test PCR, celui dont la tâche est de détecter la présence d’ARN viral dudit virus.

Mais voilà, le problème est que l’ARN viral de la Covid19 ressemble à beaucoup d’autres type de Coronavirus y compris celui d’un simple rhume. Et puis il faut prendre en compte les mutations. Ainsi, il est rigoureusement impossible à partir de ce seul test de dire ou non si l’on est infecté.

Il y a un vrai dilemme, si on abaisse le seuil de détection, on peut passer à côté de cas positifs et s’il est un peu trop élevé, on détecte des rhumes ! Le 29 août, le New-York Times publiait une étude qui disait que 85 à 90% des personnes qui avait été mises en quarantaine n’étaient ni contagieuses, ni malades !

Pour anecdote, cet été à Saint-Tropez, un restaurant a brutalement fermé. Toutes les personnes avaient été testées positives en une soirée. La presse parlait de super cluster. Ouuaaahah ah ah… C’est Marcel qu’avait mis la clime trop forte. Oooh leeeeu con !

Ainsi donc, notre administration, pour être efficace et « parfaite », parce qu’elle s’est donnée une mission qu’elle est incapable de gérer, comme les autres d’ailleurs (elle veut vraiment servir à quelque chose) et donc ne pouvant faire autrement, se base uniquement sur ce test foireux pour décréter la situation de pandémique. Bien. Avec la nouvelle définition svp.

Ainsi donc, s’en va en guerre contre la Covid19 pour nous pondre tout un tas de règles aussi imbéciles que destructrices, comme elle a l’habitude de faire.

Le port du masque obligatoire par exemple, celui que l’on voit partout. Le fameux masque de papier. https://www.youtube.com/watch?v=oxgW8YNtP_w (Drôle, Les Guignoles il y a 11 ans, 1m34s)

Il ne faut le dire à personne mais il est utilisé principalement par les chirurgiens, pour éviter les projections de bactéries ou microbes dans leur patient quand ils opèrent. Ils sont utilisés à une température de 8°c. La densité d’oxygène est forte… tout va bien.

Les virus sont volatiles, aéroportés. Le masque ne sert donc presque à rien puisque l’air que l’on inspire passe pour la grande majorité par les voies d’air sur les côtés, dessus, dessous… et donc la contamination dépendra de la charge virale contenu dans l’air localement autour de vous.

L’utilité en extérieur ? À moins de se faire cracher dessus… pfff

Et à l’intérieur ? Ben pfff aussi finalement. Il suffit d’aérer largement !

Le point négatif est qu’avec le port du masque dans la vie de tous les jours l’oxygénation est beaucoup moins bonne puisque l’on inspire plus facilement, pour partie, l’air que l’on a expiré. On affaiblit son corps qui se défendra moins bien contre les agressions virales… Et pof ! Un rhume transformé en Covid19 ! Parce qu’il y a des virus, microbes, bactéries partout en permanence tout autour de nous. Notre système immunitaire est là pour ça.

Le cerveau a besoin d’oxygène, pour les neurones, tout ça… peut-être que ceux que ça ne gêne pas de porter un masque en ont moins besoin que les autres… Ah ben oui ceux qui ont une mentalité administrative justement… suis-je bête !

Le point positif pour eux est peut-être qu’ils fabriqueront plus de globules rouges.

Mais une chose est sûre, c’est que le virus est extrêmement poli. Ben oui, quand on mange, pas besoin de masque, quand on boit, non plus, dans les bars, restaurants, cantines… et quand on fume… non plus ? Ben fumez pour mieux respirer, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ! Après, le virus se transforme comme le font les Gremlins après minuit, ils se transforment en crès crès méchants virus avec de grandes dents qui font crès peur.

Les gels Hydroalcooliques ?

Même topo ! Pour les coronavirus, tout le monde, les scientifiques, tous, même les confits, ont admis que les savons gras, comme le savon de Marseille, étaient 4 fois plus efficaces que les gels hydroalcooliques, mais sous certaines conditions…

Et oui, il faut avoir déjà les mains propres, et que le gel hydroalcoolique ait une concentration d’environ 70% d’éthanol pour être efficace. Oui, il faut aussi un peu d’eau pour les protéines…

Mais en pratique, comment c’est ti que ça se passe ? Et bien plus personne ne se lave les mains. Donc tout le monde a les mains dégueulasses. Pour être propres les mains, il faut du savon et les rincer. Gel hydroalcoolique sur gel hydroalcoolique, avec des mains sales, sécrétions, transpirations, les virus… ils rigolent !

N’aurait-il pas mieux valu dire aux gens qu’il faut se laver. Il y a 10 ans, dans le métro, il y avait 3 personnes sur 10 qui prenaient une douche tous les jours et 2 qui en prenaient une 1 fois par semaine. Ben ça n’a pas changé.

Alors un point positif, c’est qu’avec les mains poisseuses toutes collantes et qui puent, on a moins envie de se mettre le doigt dans le nez. Mais surtout, il vient une solution hyper efficace : il suffit d’agiter ses mains devant son visage pour coller les virus sur nos mains comme le font avec les mouches les papiers tue-mouches. Et hop, on ne respire plus de virus. Ce n’est pas intelligent ça ? Ça va être drôle quand notre ministre Véran va rendre ce geste, en plus de ceux qui sont « barrières », obligatoire. Vous imaginez le tableau ?! https://www.youtube.com/watch?v=ZM5nx6YVPgs (Drôle, Tais-toi, 29s)

Voyez-vous, quand j’étais enfant et un peu sot, j’appelais les vieux les PPH, l’acronyme pour désigner les Passera-Pas-l’Hiver.

Les causes de mortalité des vieux sont multiples : grippes (10 000/an), maladies respiratoires virales (60 000/an) et même un simple rhume (sans doute des dizaines de milliers encore) peut tuer une personne âgée et bien d’autres… C’est triste et en même temps quoi de plus naturel ? Quand on vieillit, on s’affaiblit. Il faut l’accepter.

Aussi pour mettre tout ça en perspective, il faut quand même réaliser que la France compte par an 800 000 morts soit 2200 morts/jours.

Jusque-là, on ne s’est jamais inquiété de rien. Et pourtant, « 30 000 supposés » morts du soi-disant Covid19, ce n‘est finalement pas tant que ça…

En cette année 2020, tout le monde il est mort du Covid19, dis-donc ! In-Croy-able !

Seulement 72 morts de la grippe ! Le rhume ? Disparu ! Donc revenons un peu sur les tests.

Les tests PCR, on l’a vu ne sont pas fiables. Attention, un test PCR positif accompagné d’autres symptômes peut devenir pertinent mais le test seul ne l’est que 1 fois sur 10 !

Mais qu’en est-il pour les tests sérologiques ? Là aussi, rares sont ceux qui sont vraiment fiables selon les critères de l’agence nationale de référence mais il en existe à plus de 95%. Très bien.

Mais en quoi consiste les tests sérologiques ? Ce n’est non pas pour détecter le virus mais l’anticorps.

Donc après avoir était malade ou pas, parce qu’asymptomatique, vous avez développé des anticorps. Pour autant si vous mourez et que vous êtes testé positif, peut-on conclure que vous êtes mort des suites du Covid19 ? Non.

Si on faisait le même genre de test pour détecter des anticorps contre le tétanos, pourrait-on conclure que vous êtes mort du tétanos ? Ici pour le Covid19, on le fait sans problème !

Toujours est-il que pour lutter contre ce virus « extrêmement grave de la mort qui tue » pendant « l’épidémie » quand un parent était admis aux urgences et bien vous ne l’avez plus jamais revu. Direct au four ! Pas d’autopsie possible. L’administration est aussi « parfaite et efficace » qu’ « inhumaine ». Et je suis prêt à parier ma chemise que pour ceux qui étaient impliqués dans ce process, cela leur aura fait autant d’effet qu’aux soldats de la wehrmacht qui envoyaient les juifs en train dans les camps de concentration. Ils ne s’en sont même pas rendu compte.

Aussi, ceux pour lesquels l’autopsie a été possible, elle a révélé pour la majorité de déclarés « mort du Covid19 » qu’en réalité, ils ne l’étaient pas.

L’explosion de cas positifs à la rentrée de septembre était simplement dû à l’explosion du nombre des tests pratiqués. Est-ce que cela rend pour autant le Covid19 plus dangereux ?

Les malades qui remplissent nos lits d’hôpitaux aujourd’hui, en 2019 auraient été chez eux. Mais si vous êtes testé positif au test PCR, selon le simple effet mange-cailloux (cf https://temoignagefiscal.com/le-coronavirus-ou-le-mange-cailloux/), le protocole inventé par notre administration vous étiquette de « pestiféré Covid19 » et on met en branle tout le cinoche qui va avec pour agiter le chiffon rouge de la peur avec zèle.

En bref, il est donc à n’en pas douter qu’il y a eu une large substitution de morts d’origines diverses en morts Covid19 et c’est toujours le cas.

On ne reviendra pas sur la gestion calamiteuse des hommes de l’État qui de par le confinement auront provoqué plus de morts qu’il n’aurait dû y avoir. Ce n’est quand même pas compliqué à comprendre. Malade, renvoyé chez vous avec rien pour faire baisser la charge virale, vous finirez bien par contaminer votre famille. Et si certains d’entre eux travaillent prennent les transports…

https://www.youtube.com/watch?v=4gPNZMDGEAk  (sympa et instructif, L’OMS en flagrant délit, 4m49s)

Aussi, on pourrait voir les choses autrement. Le Covid19, « Le virus court toujours » avec ses petites baskets. Depuis le temps, une large majorité de la population a déjà eu à faire à lui !

Alors entre, les immunisations croisées, celle donnée par les cellules T, ceux qui ont fabriqués des anticorps… cette explosion de cas positifs avec aussi peu de morts du Covid19, sinon zéro, malgré la meilleure volonté de nos hommes de l’État et de leurs médecins affidés, sans être complotiste, non, pour nous faire croire qu’ils en sont, n’y aurait-il pas finalement déjà une immunisation collective ? Le virus, avec ses 33 souches, à il y a une semaine, ne serait-il pas devenu inoffensif comme attendu ?

33 souches ! Pour ceux qui attendent un vaccin… grand bien leur fasse. Aussi inutile et impossible le vaccin, c’est juste du Connerievirus dont on parle là ? https://temoignagefiscal.com/le-connerievirus/

Cette immunisation collective, souvenez-vous, c’est bien ce qu’espérez tout le monde pendant l’épidémie en avril, les vrais médecins et même les médecins et scientifiques confits… TOUS.

En définitive, quand on fait une cartographie de tout ce qui a été dit précédemment, ne pourrait-on pas conclure qu’aujourd’hui les autorités justifient la dangerosité du Covid19 seulement et uniquement par les conséquences des mesures prises contre la Covid19 elles-mêmes ? Là c’est très très fort. Et le plus dingue, c’est que ça marche ! Bravo les médias ! Et ça coute un pognon monstre. Ça ruine tous nos commerçants, artisans, professions libérales…

J’aime ce qui est simple mais je déteste les raisonnements simplistes.

Pour se défendre, la nomenklatura, notre élite française, divise le monde en deux catégories. Ceux qui sont « pour » les mesures contre la Covid19, les dociles, les gentils et ceux qui sont « contre » taxés de complotistes, les méchants.

Le profil des « contre » étant dans tous les journaux, je vais faire l’essai de celui des « pour ». Mais avant je voudrais préciser une observation essentielle pour qu’il n’y ait pas de malentendus. À observer les gens, je pense que l’on peut définir en réalité trois grandes catégories de personnes.

  • Les « contre », il y a bien des complotistes mais pas « que » (10 à 15% de la population)
  • La masse, où l’on peut distinguer les « moutons » mais aussi ceux qui ne veulent tout simplement pas d’ennui ou encore ceux qui n’ont pas le temps d’y penser réellement… (70% à 80% de la population)
  • Et puis les vrais « pour », avec zèle (10 à 15% de la population encore). Alors qu’on se le dise tout net, pour moi, ce sont des fachos.

Les fachos, ceux qui ont une croyance forte en l’État. Ceux qui vouent une haine à celui qui ne porte pas de masque, à celui qui allait courir pendant le confinement, qui donc les considèrent comme des assassins, mais qui pour le coup rêvent de pouvoir leur mettre une balle dans la tête ou dans le genou pour qu’il ne puisse plus courir… le plaisir sadique à la délation…

Des monstres d’égoïsme, animés par la peur cèdent aux plus vils et bas instincts.

Pour rappel, sur la seule volonté d’Hitler de se « débarrasser » des juifs, considérés comme le mal absolu de l’économie, responsables de la crise en 1933 en Allemagne, c’est bien l’administration qui petit à petit en est venue à construire des camps de concentration. Ça fait écho, là, hein ?! Seuls ceux qui ont une vision administrative des choses et qui ont le pouvoir peuvent arriver à ces horreurs. On les croise principalement dans la fonction publique mais aussi dans les grandes entreprises à divers niveaux hiérarchiques.

Dans cette crise sanitaire, j’y vois les mêmes principes, les mêmes causes et dans certains pays du monde, déjà les mêmes conséquences.

Tout ça pour ne pas admettre que nos administrations qui se sont développées comme le cancer sont incompétentes. Ce n’est pas forcément à cause des personnes qui la composent, même si les concours administratifs sélectionnent un certain type d’individu, la fameuse épreuve de dissertation de culture générale, bien marxiste, donc inhumain, puisqu’il considère les hommes comme tous identiques, des commodités.

La peur, le pire de tous les maux qui empêche tous raisonnements, esprits critiques… mène à la folie.

L’origine du problème, à bien y réfléchir, est le manque de confiance en soi.

Savez-vous que dans les villes où il n’y a ni stops, ni feux rouges, non seulement il y a beaucoup moins de bouchons mais il y a surtout 60% à 4 fois moins d’accidents mortels ?

Se déresponsabiliser est dangereux. Dans cet exemple, vous confiez la responsabilité à un feux, un stop (représentation symbolique de l’État) de vous dire quand vous pouvez passer de quand vous devez vous arrêter !

Ici, dans cette crise sanitaire, nous avons confié le pouvoir aux hommes de l’État lesquels à titre individuel ne supportent aucune conséquence de leur décision. Comment confier un pouvoir de décision à quelqu’un qui n’en supporte aucune responsabilité ?

Tous ces cerveaux aussi instruits que confits poussés par l’orgueil de vouloir résoudre une “crise sanitaire” sans précédent… comme le catastrophisme est tentant. Ils vous ont sauvé la vie, bordel. Il va falloir leur dire merci. Et tout ça en mettant tout le secteur privé et libéral de côté !

Un complot ? Je ne sais pas. Personnellement je pense qu’il y a plus d’idiots que de complots.

Les fonctionnaires ont tellement envie de servir à quelque chose.

Les élus ont tellement envie de servir à quelque chose et eux y sont même contraints de par le système en responsabilité mais aussi pour donner l’illusion de leur utilité pour se faire élire.

Les pseudos chercheurs et organismes de santé qui veulent briller en sauvant le monde…

L’industrie pharmaceutique qui veut vendre des masques, du gel, des médicaments, des vaccins…. Depuis plus de 20 ans pas une seule grande découverte en matière de remède ! Alors ?

Comme pour la circulation automobile, la population préfère l’illusion d’une protection à l’efficacité. En l’absence de feux ou de stops, en cas d’accident, ceux qui ont une vision administrative des choses, se plaindront qu’il n’y en a pas. Et dans ce système bien administré, le maire, pour ne pas être en responsabilité s’exécutera pour cette petite minorité d’imbéciles.

Des morts de cette crise, il y en aura eu de toutes les formes : Covid19, grippes et rhumes estampillés Covid19, tous ceux qui n’ont pu se faire soigner ou opérer pendant cette période, les morts économiques et ailleurs dans le monde déjà des exécutions sommaires. Et ce n’est pas fini.

Conséquence, une pluie d’interdictions, de règles attaquant nos droits inaliénables et fondamentaux, contrôle de l’information sur les réseaux sociaux… dont l’issue probable est la dictature ferme et définitive. Nous avons déjà un pied dedans.

Les pays les plus activistes en matière de mesures contre la Covid19 sont ceux-là mêmes qui ont les résultats les plus médiocres en termes de nombre de morts par millions d’habitants. Et devinez quoi, ce sont ceux-là aussi qui ont un rapport dette/PIB les plus élevés et/ou les indices de liberté économiques les plus faibles. L’Allemagne étant un cas à part. Pour comprendre, il faut avoir vu la vidéo suivante.

Si vous êtes encore là, peut-être aurez-vous le courage de regarder cette vidéo, de mon point de vue instructive du côté du droit : https://www.youtube.com/watch?v=q62Z6ay8YCo

(C’est 49mn, mais nécessaire pour être bien informé de ce qui se fait

PS : En Allemagne, Dr est un titre acquis quand on est diplômé d’un doctorat, ici en droit et non en médecine)

Demain, si l’OMS vous dit qu’elle va monter une commission pour lutter contre la mort suite aux arrêts cardiaques, vous y croyez ? Non ? Parce que c’est la prochaine étape pour imposer encore plus de règles et d’interdictions…

Ici, le rappel des droits de l’homme que je vous invite à lire :

https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-bloc-de-constitutionnalite/declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen-de-1789

L’article 2 mentionne : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. ». On est toujours en France ou s’agit-il d’une fiction ?

La question est : que feront nos hommes de l’État si un évènement fait basculer la masse en faveur de ceux qui sont pour la liberté ?

Ma conclusion est que l’on est tous con, on est tous un peu nazi sur les bords, mais ça va mieux quand on le sait !

Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.

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BFM TV ou l’information

BFM TV,

Vous êtes mauvais.

Mais comment pourrait-il en être autrement ?

  1. Votre objectif est d’abord de “vendre du papier” ou faire de l’audience.

  1. La conséquence est que vous vous rangez toujours par prudence derrière la majorité ou le pouvoir ou encore ce que vous pensez être l’opinion publique.

Malheureusement, l’histoire montre que la raison est bien souvent ailleurs.

Par exemple, concernant l’étude publiée dans The Lancet, aucun de vos journalistes n’avaient été foutus de prendre la peine de la lire ou même de la survoler. Tous se sont contentés de faire le buzz de la conclusion que l’hydroxychloroquine “tue”, alors même qu’en moins de 2mn, même pour un néophyte, l’évidence était que cette étude n’était pas sérieuse.

L’Hydroxychloroquine vs The Lancet, le match en 2mn

Vous êtes mauvais.

Orientés, des titres accrocheurs sans rapport avec les contenus, vous sortez toutes observations de leur contexte et parfois même êtes capables de rapporter au conditionnel, bien évidemment, l’inverse de ce qui auraient dû l’être. En bref, vous transformez ou exagérez les propos ou les faits systématiquement sous prétexte de la simplification, celle-la même que, peut-être, vous êtes seulement capables de comprendre.

C’est tout de même incroyable que le protocole du Prof. Raoult, basé sur des études, des statistiques, chinoises ou coréennes, appuyé par ses propres connaissances soit qualifié de “basé sur une intuition” quand les “autres”, les ignorants, ont “scientifiquement” pris la décision de ne rien faire en dehors du confinement !

Vous êtes mauvais.

Vous êtes des pourvoyeurs d’information, donc des influenceurs. Vos responsabilités ne sont pas nulles, elles sont bien au contraire pleines et entières.

Pourquoi croyez-vous que dans les tribunaux dans la plupart des pays du monde, on vous demande de dire,

la vérité,

toute la vérité

et rien que la vérité?

Parce que, s’il manque une seule de ces trois composantes, on peut conclure à une fausse conclusion. En ce qui vous concerne, cela revient à faire de la désinformation.

Finalement, est-ce que la réalité des choses intéresse ? C’est une vraie question. L’apparence est le moteur. L’apparence, le monde où le mensonge, la tromperie sont permis sinon même sacrés

Au point que, même dans nos tribunaux, en France au moins, le mensonge est autorisé sous le principe de la plaidoirie.

Vous êtes mauvais.

La distribution de l’intelligence de la population est aussi en cloche. Ce n’est pas beaucoup s’avancer que de dire qu’il doit en être de même pour nos scientifiques. Vu le contexte, ne serait-il pas normal que les études montrent, pour les 2/3 d’entre-elles, qu’elles ne sont pas favorables au protocole du Prof. Raoult et de l’usage de l’hydroxychloroquine ?

D’autant que c’est bien connu, les médiocres, ceux qui auront une attention toute particulière à leur image, se réunissent pour détruire ce qu’eux-même ne sont pas capables de faire. À souligner qu’il reste donc, quand même, 1/3 de favorables !
Toujours est-il que ses résultats et ceux des autres sont là et ne sont pas contestables : il y a un rapport compris entre 5 et 7.

Force est de constater que vous êtes de la majorité. Quel gâchis, vous aviez un formidable outil.

Vous êtes mauvais.

Bien à vous,

Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.

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L’Hydroxychloroquine vs The Lancet, le match en 2mn

Le 22 mai, arrive en Une de tous les journaux et pour reprendre le titre du journal Les Echos « Coronavirus : la chloroquine inefficace et risquée, selon une large étude britannique » précisant « qui s’est intéressée à 96.000 patients hospitalisés du Covid-19 dans le monde, ne montre aucun bénéfice des traitements à base de chloroquine ou d’hydroxychloroquine. A l’inverse, ceux-ci sont associés à une hausse de la mortalité. »

La publication est de la célèbre revue médicale The Lancet. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext

96000 cas ! Dans le monde ! C’est du sérieux…

À partir de là, immédiatement, dans la seconde, il y a deux réflexes possibles :

  1. Ayant moi-même « soutenu » le Prof. Raoult, pour l’usage de l’hydroxychloroquine et surtout pour ses méthodes, on peut se dire que c’est une étude orientée pour soutenir l’action du gouvernement et donc M.Véran, ministre de la santé et précédemment Mme Busyn
  2. Se dire au fond : « Merde, je me suis trompé, je me suis laissé embarquer par un gourou… » en se disant dans le même temps « Ben alors pèpère Raoult, qu’est-ce t’as foutu ? »

Pardon « je m’a gouré », il y en a une troisième, celle de Ségolène Royale (je tombe dessus au hasard, mais ce n’est sans doute pas la seule), donc :

  1. J’efface tous mes tweets assenant le gouvernement de suivre les préconisations du Prof. Raoult et donc de libérer l’usage de l’hydroxychloroquine. https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/segolene-royal-supprime-tous-ses-tweets-lies-a-la-chloroquine-desormais-sur-la-sellette_448825

C’est vous dire qu’elle en a des convictions, de l’honnêteté et du courage, Mèmère. Encore une fois, ce n’est sans aucun doute pas la seule. Mais ce n’est pas une excuse !

Et puis enfin, vient le moment de la vérification, évidemment. Hein, Ségolène ?

Et alors là, c’est le pompon.

En quelques secondes après la lecture des six premières lignes sur le contexte de l’étude dont l’objectif est clairement exprimé, celui de vérifier l’efficacité de la chloroquine, vient le paragraphe méthode.

La crédibilité de l’article ne tient même plus la minute. On y lit :

  • « Nous avons effectué une analyse du registre multinational sur l’utilisation de l’hydroxychloroquine ou de la chloroquine avec ou sans macrolide pour le traitement du COVID-19. »

Donc une étude internationale, c’est du sérieux. Mais le mot « registre » implique des cas observés bien « passés »

  • « Le registre comprenait des données provenant de 671 hôpitaux sur six continents. »

Aïe ! Première sérieuse alerte : 96 000 / 671, soit 143 cas en moyenne par hôpitaux alors qu’ils en ont traités chacun plusieurs milliers. Ça sent les cas choisis, autrement dit l’arnaque.

  • « Nous avons inclus les patients hospitalisés entre le 20 décembre 2019 et le 14 avril 2020, avec un résultat de laboratoire positif pour le SRAS-CoV-2. »

Re-Aïe ! Mi-avril, des observations concernant les conditions d’usage de l’hydroxychloroquine pour le traitement du Covid19, pour ceux qui l’avaient mal utilisée avait déjà été faites, y compris dans la presse et donc connues de tous. L’hydroxychloroquine peut avoir des effets secondaires graves sur les cas les plus avancés… blablabla. C’est par ailleurs marqué sur la notice ! Nous étions donc en droit d’attendre une étude à grande échelle qui respecte à la lettre le protocole d’usage de la chloroquine dictée par le Prof. Raoult, pour sa bonne utilisation, puisqu’en réalité c’est bien lui qui était visé. Et donc cette étude n’aurait dû commencer qu’après mi-avril avec de nouveaux cas.

  • « Les patients qui ont reçu l’un des traitements d’intérêt dans les 48 heures suivant le diagnostic ont été inclus dans l’un des quatre groupes de traitement (chloroquine seule, chloroquine avec un macrolide, hydroxychloroquine seule ou hydroxychloroquine avec un macrolide), et les patients qui n’ont reçu aucun de ces traitements ont formé le groupe de contrôle. »

Bien.

  • « Les patients pour lesquels un des traitements d’intérêt a été initié plus de 48 heures après le diagnostic ou pendant qu’ils étaient sous ventilation mécanique, ainsi que les patients qui ont reçu du Remdesivir, ont été exclus. »

Il ne faut pas mélanger. C’est bien. Mais aussi, cela signifierait-il que dans ces hôpitaux, on ait attendu que les cas s’aggravent pour donner l’hydroxychloroquine ? Pas bieeeen !

  • « Les principaux résultats d’intérêt étaient la mortalité hospitalière et l’apparition d’arythmies ventriculaires de-novo (tachycardie ventriculaire non soutenue ou soutenue ou fibrillation ventriculaire). »

Le coup de grâce ! Flûte, zut, quel dommage, les patients n’avaient pas encore eu la chance d’être sous respirateur. Il n’y en avait pas pour tout le monde ? Mais il s’agissait bien de cas en phase déjà très avancée. À la Julien Lepers : « Ooohh lalalalalala, quel dommage, vraimeeeent ! ». À vos applaudissements…

Et pour confirmer que cette étude est complètement bidon, on peut lire quelques lignes plus loin dans le paragraphe « conclusions », « 10 698 (11,1%) patients sont morts à l’hôpital. » soit un ratio presque 4 fois plus élevé que la normale selon l’OMS.

Alors quand on lit dans le paragraphe « Interprétation »,

  • « Nous n’avons pas été en mesure de confirmer un bénéfice de l’hydroxychloroquine ou de la chloroquine, lorsqu’elles sont utilisées seules ou avec un macrolide, sur les résultats hospitaliers pour COVID-19. Chacun de ces schémas thérapeutiques a été associé à une diminution de la survie à l’hôpital et à une augmentation de la fréquence des arythmies ventriculaires lors du traitement par COVID-19. »,

moi, je lis surtout que les chefs de services de ces 671 hôpitaux n’ont pas été foutus de lire correctement une notice d’usage de médicament et/ou qu’ils ont utilisé la chloroquine sans se fier aux préconisations du Prof. Raoult, c’est-à-dire comme des bourrins.

C’est l’arroseur arrosé. The Lancet = poubelle.

Pour ne pas aller dans le détail, je vous laisse poursuivre ici, avec M. Philippe Douste-Blasy qui vaut vraiment la peine d’être vue,

https://www.youtube.com/watch?v=HAcstIBsd6c

Selon les données du ministère de la santé, en France,

  • 17,6% des gens qui ont été hospitalisés pour Covid19 sont morts.
  • À l’IHU de Marseille, c’est 2,5% !

Résultats à appariement équivalent, autrement dit dans les mêmes conditions, au même stade…

Le rapport est de 7 !

Nul besoin d’être médecin, virologue ou mathématiciens/statisticien, pour comprendre les résultats. CQFD.

The Lancet rapporte également, mais subtilement (il faut savoir faire le tri), que les groupes traités par l’hydroxychloroquine avaient les cas les plus graves comparé au groupe témoin.

Ainsi donc, que M.Véran, lui-même médecin, s’appuie sur cette étude pour décrédibiliser l’hydroxychloroquine est « presque » normal (pas honnête du tout), puisqu’il a interdit par décret le 24 mars (date à vérifier) la prescription de l’hydroxychloroquine aux médecins, sauf pour les cas les plus graves et qui ont besoin d’oxygène ou qui ont une défaillance d’organe, donc des préconisations totalement opposées à celle du Prof. Raoult.

La prochaine fois que je serai malade, j’irai consulter le ministre, un député ou pourquoi pas le maire de ma ville. C’est bien connu, les politiques savent tout mieux que tout le monde !

Le 13 janvier, Mme Busyn, alors ministre de la santé et dont le mari Yves Lévy est le président de l’INSERM, avait mis sur la liste des médicaments vénéneux de Catégorie 2 l’hydroxychloroquine.

M.Véran a interdit par décret… déjà dit.

Alors que

  • L’hydroxychloroquine, un médicament anti-inflammatoire et antiviral, qui existe depuis 1955 soit depuis 65 ans, a été distribuée par milliard pour lutter contre le palu, les maladies auto-immunes…
  • La molécule fait partie de la liste des médicaments essentiels de l’Organisation Mondiale de la Santé (liste mise à jour en avril 2013). https://fr.wikipedia.org/wiki/Hydroxychloroquine

De manière générale, on ne peut pas en vouloir à l’industrie pharmaceutique de vouloir faire de l’argent à l’apparition d’une nouvelle maladie. D’autant qu’entre les coûts de recherche qui sont exorbitants dont l’issue est incertaine et l’intervention politique qui vient perturber le marché de la concurrence, certains laboratoires ont souffert, indépendamment de leurs choix stratégiques ou savoir-faire, d’une santé économique fragile. Quand d’autres se portent merveilleusement bien. Gloups !

Mais qu’en est-il des politiques ?

Dans le cas présent, on peut sérieusement douter de la probité de ces ministres qui se succèdent et se ressemblent sans pour autant qu’il y ait un véritable complot. C’est le système. Chacun agit en fonction de ses intérêts propres qui ne sont d’ailleurs pas nécessairement financiers.

Toujours est-il que l’interdiction de la chloroquine, ou tout autre médicament, a pour conséquences de :

  • Limiter le choix des remèdes possibles au médecin que l’on consulte et en qui il est nécessaire d’avoir confiance. Une petite note sur ce point : l’existence d’un médecin référent suppose que tous les médecins généralistes soient parfaitement interchangeables (inspiration marxiste) alors qu’intuitivement, il se pourrait que l’on soit plus tenté d’aller voir un médecin plutôt qu’un autre selon ce que l’on a.
  • De facto, remettre en question la compétence des médecins à diagnostiquer et prescrire le traitement adéquat selon ses convictions. On a qu’à fermer les facultés de médecine !

En effet, il est à n’en pas douter que dans ces conditions il faudrait interdire tous les médicaments. Le paracétamol, par exemple, en vente libre comme l’était l’hydroxychloroquine, est aussi toxique. Il y a plein de gens qui ne peuvent en prendre. Et je ne suis pas certain que vous restiez en bonne forme, à moins de faire « un mort en bonne santé » (si si, je suis certain que quelqu’un comme Mme Sybeth est capable de vous dire une chose pareille), si vous en avalez une boite entière ! Et à bien y regarder, il n’est d’ailleurs pas impossible que le paracétamol soit plus dangereux que l’hydroxychloroquine…

Bref, encore un débat stérile.

La seule question est pourquoi cette interdiction sachant que le choix d’un remède, comme tout autre chose, devrait relever de sa propre responsabilité ou de celui qui le prescrit, à condition d’en être bien informé ? Qu’y a-t-il de plus personnel, plus intime que sa santé ?

Il s’agit comme toujours du principe de l’échange mutuellement consenti.

Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.

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Le Coronavirus ou le Mange-Cailloux

Quand j’étais jeune (ça fait mal de dire ça), pour financer une partie de mes études, l’été je faisais sauveteur en mer. Autant vous dire qu’avant et après la série « Alerte à Malibu », les sauveteurs et le regard des vacanciers n’ont pas été les mêmes. Après la diffusion de la série, il y a eu plus de 200 candidats/an au centre de formation où j’avais été formé quand il y en avait 15 en moyenne auparavant. Les motivations n’étaient plus les mêmes. Quant aux vacanciers, avant la série, il y avait une reconnaissance, une convivialité, au point que l’on pouvait leur faire des blagues… ensuite nous avons souffert de la comparaison et le regard s’est durcit…

L’été de ma 3ème saison, avant l’effet « Alerte à Malibu », nous avions marqué « Attention aux Mange-Cailloux » pendant la période des méduses sur le panneau d’affichage. Nous avions un super discours : « Une espèce en voie de disparition qui vient du Canada… évolue dans l’eau et cause des irritations comparables à celles des méduses…, dans le sable a un comportement comparable à celui de la taupe… et mange des petits cailloux, il a un système digestif comparable à celui de la poule…, ça peut pincer les pieds… ».

Evidemment, les victimes des méduses défilaient au poste de secours. À notre grand étonnement, au moins la moitié d’entre eux avaient vu le Mange-Cailloux et d’autres pour les jeunes et ados avaient même failli en attraper. Extraordinaire ! Et pour les autres qui n’en étaient pas certains : « – C’était une masse blanche ou sombre ? – Je n’ai pas bien vu, plutôt sombre… – Ben voilà, encore un Mange-Cailloux ! ». Et pour parfaire le tout, nous recommandions aux mamans bien-intentionnées de s’arrêter à la pharmacie au bout de la rue en sortant de la plage aux feux à l’angle, la crème « ApaisylOuAtarax », dit très vite de sorte que ce soit incompréhensible, ou clairement « une pommade contre les piqûres de Mange-Cailloux », « ne vous inquiétez pas, ce pharmacien, lui, il sait ce que c’est ».

Toute la journée et même le soir, l’histoire se répandit, certains « médusés » et d’autres moins crédules ou pas du tout, mais partout, en cette jolie station balnéaire, on ne parlait presque plus que des Mange-Cailloux. La blague s’est arrêtée le lendemain soir quand le pharmacien, furieux, « irrité », submergé par le monde qui venait lui chercher de la pommade contre les piqûres des Mange-Cailloux, est arrivé au poste de secours. Même les élus y avaient cru, au moins ceux qui venaient sur la plage. Le maire, qui n’était pas venu et qui avait beaucoup de sympathie pour nous : « Putain les gars, arrêtez vos conneries… ».

La moralité de cette histoire, c’est que parfois, par la seule volonté, consciente ou inconsciente, de croire en quelque chose de pas ordinaire, quelque chose d’exceptionnel, on finit même par voir ce que l’on a envie de voir.

 

Quel rapport avec le coronavirus ?

 

Je ne suis pas médecin, épidémiologiste ou virologue ou même un spécialiste de quoique ce soit dans ces domaines, mais la première question est : meurt-on réellement du coronavirus ? La question peut s’étendre à la grippe ou au VIH…

Concernant le Coronavirus, le professeur Ferguson estime que près de 2 tiers des morts du Covid19 seraient décédés d’une autre pathologie dans l’année :

https://www.medias-presse.info/coronavirus-le-professeur-ferguson-estime-que-pres-de-deux-tiers-des-morts-du-covid-19-seraient-decedes-dune-autre-pathologie-dans-lannee/119325/?fbclid=IwAR0LwR6z0o6coLTiXQtrzeH0hW2VR2s25dPgP4Ywc9CXszW22YMA9gyF0Tw

On n’a pas trop de mal à le croire quand on a en tête, la distribution des morts par tranche d’âge.

À titre personnel, je ne connais directement personne qui soit mort du Covid19, pas même à 1 poignée de main ou je ne suis pas au courant. Oui, une théorie établie en 1929 dit qu’il n’y aurait que 6 poignées de main qui nous séparent de n’importe quel individu sur la planète. Ce serait de 3 ou 4 aujourd’hui à 50 ans !

Donc le fait que vous connaissiez un ami qui connait un ami qui connait un ami qui est mort du Covid19 est plus que normal. Le contraire ne le serait pas !

En revanche, j’ai un vieil ami qui a 2 amis encore plus vieux que lui (environ 85 ans) qui ont eu un grave malaise cardiaque chez eux (à l’origine non contaminés par le Covid19) et alors que la probabilité qu’ils meurent dans les jours qui suivent à l’hôpital se soit réalisée, admis aux urgences, ils ont été déclarés morts du Coronavirus.

Bon, alors pour être prudent, je préfère dire que l’on peut mourir « des effets du Coronavirus », comme de la grippe ou du VIH, c’est certain, mais a priori, je serais aussi tenté de dire que l’on peut mourir tout simplement « avec » le Coronavirus sans qu’il n’ait eu pour autant une quelconque cause sur l’issue fatale.

C’est indiscutable, cela fait donc déjà au moins un facteur réducteur du nombre de morts « des effets du Coronavirus ».

Une précision tout de même, quand je dis « morts des effets du Coronavirus », j’entends uniquement sur le plan médical estampillé « Covid19 », parce qu’en réalité il y en aura d’autres par ailleurs, on y reviendra. Sur le plan économique, ils seront sans doute plus nombreux…

En effet, au risque de me répéter, la grippe fait entre 2000 et 10 000 morts par an en France. Ce chiffre alors même que 50% des personnes âgées de plus de 65 ans sont vaccinées contre la grippe et que l’on compte 10 millions de personnes vaccinées en tout. Et lorsque les plus faibles sont atteints, ces malades sont soignés : paracétamol et antiviraux au menu. En plus, on peut facilement admettre qu’une bonne partie d’entre nous, aux mutations près, est plus ou moins immunisée. Malgré tout, dans ces conditions, on parle d’un taux de létalité de l’ordre de 0,3%. Il vient alors une question : de combien serait-il s’il n’existait pas de vaccin et si l’on ne soignait pas les gens ? 2, 3, 5% ? Et si on faisait un groupe témoin pour satisfaire nos chercheurs, nos technocrates et autres petits marquis ? Euh, je blague là !

 

Une des rares informations vraie et divulguée par nos technocrates est que les tests ne sont pas fiables. Mais alors ! Les tests en général (PCR ou autres), ne détectent-ils que le Covid19 ? Parce qu’il existe des dizaines de coronavirus, totalement inoffensifs, dont nous sommes parfaitement immunisés depuis longtemps. Ou pourraient-ils être positifs à d’autres virus ou maladies ?

Aussi, cette année, aucune statistique des morts causés par la grippe justement, ou même causés par d’autres infections virales, pulmonaires ou non, qui feraient 60 000 morts par an en plus de la grippe. Sacré chiffre ! Jusqu’à présent personne ne s’inquiéter de porter un masque…, mais bon, soit !

Alors après quand on se rend compte de ça, tout un tas de questions arrivent…

On peut aisément s’interroger si les morts du Coronavirus, « si contagieux », n’incluraient finalement pas, au moins pour une partie, des morts d’autres maladies ? En bref, avec ces statistiques en tête et questionnement sur la fiabilité des tests et sachant qu’il existe l’effet « Mange-Cailloux », même si l’on ne peut objectivement pas nier l’existence du Covid19 et qu’il a nécessairement été responsable de quelques centaines ou milliers de morts, le doute sur la réelle dangerosité du Coronavirus est plus que permis ?

Finalement, quand on y pense bien, le Coronavirus, ne serait-il pas, pour une partie non négligeable, le bouc-émissaire d’une hallucination collective générée par des technocrates, membres de comités scientifiques, fonctionnaires, certes tous cultivés, instruits mais complètement abrutis, motivés par des scientifiques alarmistes ? Parce qu’il faut quand même le reconnaître, depuis le confinement, il n’existe plus qu’une seule pathologie : le Coronavirus !

En effet, pour les autorités, il suffisait que vous ayez 2 des 3 symptômes, maux de tête, fièvre ou toux pour que vous soyez suspecté d’être infecté par le Covid19. « Restez chez vous ». Je ne suis toujours pas médecin, mais il me semble qu’il existe d’autres maladies qui réunissent 2 de ces 3 symptômes. Et si vous aviez les 3 symptômes réunis, pof, direct à l’hôpital public (si vous êtes éligible), le seul qui sait ce que c’est. Hi, le coup du pharmacien. Et là, si vous ne l’aviez pas tout de suite selon le test, vous aviez toutes les chances de repartir avec 😉. Une petite blagounette… Bon, pardon.

 

Revenons à la contagiosité. Car tout de même le Ro (R zéro) estimé, indice chouchou si cher à nos infectiologues et autres virologues de tout poil, était d’abord de 6 ou 7 puis 3 comme le spot publicitaire pendant la période de confinement le suggérait. Alors faisons un petit calcul.

Pour faire simple, le Ro permet de connaître le nombre moyen de personnes qu’une personne contagieuse pourrait infecter. Dit comme ça, ça n’a pas l’air si dangereux que ça, surtout quand il n’est que de 3 ! ça parait faible et pourtant…

Démonstration approximative, mais quand même, ça a le mérite de donner une idée. Le Covid19 serait contagieux avant l’apparition des symptômes qui apparaissent eux-mêmes après une période d’incubation de 4 à 6 jours et une période de guérison compris entre 6 et 20 jours. Bien. Le premier cas en France certifié date du 27 décembre 2019.

Pour une représentation de la propagation du virus, il suffit d’imaginer un arbre, dans le cas présent à 3 branches où à chaque branche il y pousserait 3 branches et ainsi de suite pour chaque période d’observation. On parle de progression exponentielle et c’est bien le cas. Ensuite, il suffit de faire la somme de chaque nœud. Il suffit donc de résoudre la somme de t = 1 à n de Ron, n étant le nombre de période. C’est un modèle un peu simpliste, il en existe sans doute des beaucoup plus sophistiqués mais a le mérite de permettre d’avoir des ordres de grandeur en tête (indispensable pour juger de la pertinence des solutions à envisager), d’apprécier les cohérences et est très facile à implémenter. En réalité le taux de contamination est plus fort en début d’épidémie et s’estompe avec le temps puisqu’il reste de moins en moins de personnes à contaminer… Donc si l’on considère qu’à partir du 5ème jour d’incubation (hypothèse très conservatrice) chaque personne est contagieuse, depuis le 27 décembre au 17 mars le 1er jour de confinement, il y aura eu 21 périodes. Aïe, c’est embêtant, le nombre de personnes théoriquement infectées est de 15,6 milliards !!!  (321 = 1.046 1010  avec le reste…). 2 fois la population mondiale ! Il y a comme qui dirait une couille dans le potage.

Bon, avec un Ro à 2 ? Ça fait 4 186 111. Aaaah, vous m’en direz tant… Vous imaginez avec un indice à 7 !!! On reviendra un peu plus tard sur la cohérence de ce chiffre. Pour info, le Ro de la grippe est de 2 à 3, à la différence près que la grippe dure beaucoup moins longtemps (1 à 2 mois par an) et vous l’avez compris, le temps est un facteur très important : c’est l’exposant !!! CQFD. Nul doute que c’est parce que le Covid19, il existe depuis 5 mois en France maintenant, ne rencontre aucune immunisation, aucun anticorps.

Et qu’en est-il du taux de létalité ?

Dans mon second article qui date du 22 mars 2019, https://temoignagefiscal.com/le-meme-du-coronavirus/ , j’avais estimé modestement un taux de létalité à 0,2%, par une autre méthode moins sophistiquée quand nos experts l’estimaient à 3,5%.

Les autorités ont officialisé un taux d’immunisation à 6% de la population il y a 2 ou 3 semaines, soit 4 millions de personnes. Comment ? Pchittt !!! D’autres parlaient d’un taux compris entre 10 et 15% de la population. https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/confinement/coronavirus-bientot-des-certificats-d-immunite-6808588 . Bon pour faire simple disons 10. Nous sommes 67 millions soit 6,7 millions de personnes immunisées. Ce serait presque cohérent avec les 4 millions précédemment calculées juste avant le confinement, mais vue la croissance des décès même pendant le confinement avec le pic mi-avril (Encore une fois justement estimé dans mon premier article), grâce ou à cause des transports en communs, les courses…

Ordres de grandeur et cohérence sont les maîtres-mots.

Alors de deux choses, l’une : soit le Ro est encore plus faible, soit le nombre de personnes immunisées est sous-évalué. Dans tous les cas, 4 millions de personnes immunisées avec un taux de mortalité à 3,5%, ça ne colle pas : ça fait 140 700 morts !!! Les Hautes Autorités ont cassé leur calculette ?! Non, ils se sont gouraient, pour faire joli et pour la frime, ils comptent en chiffres romains… Ah ben oui alors, c’est beaucoup moins facile !

Nous n’avons qu’un modèle simpliste, mais celui de l’OMS sans doute plus complexe, c’est certain, ne fonctionne pas.

Parce que je ne suis toujours pas médecin, mais ôtez-moi d’un doute. Il faut bien nécessairement avoir été contaminé pour être immunisé ?

Si l’on considère le chiffre des 28 000 personnes décédées officiellement comme juste, ce qui est loin d’être prouvé (à titre perso, au pifomètre j’en enlèverais bien un bon tiers), le taux serait alors au maximum de 0,42%, à peine supérieur à celui de la grippe (0,3%) alors que, je le répète, il y a 10 millions de vaccinés et que les grippés sont soignés.

 

Voyez-vous, le 25 février quand le Prof. Raoult annonce « Coronavirus, fin de partie », le virus existait déjà en France depuis au moins le 27 décembre 2019. Avec un Ro à 2 et un taux de mortalité à 0,5%, ce qui semble être raisonnable, à cette date, cela ferait tout de même environ plus de 120 000 cas et environ 600 morts. On ne les a pas vus !!! Aux yeux du monde, ils n’existent pas. Les malades allaient chez leur médecin généraliste qui leur prescrivait du paracétamol, des antiviraux, dans d’autres cas des antibiotiques… Les morts ? Ben ils sont morts de la grippe ou d’une autre maladie virale pulmonaire… comme d’habitude.

Aussi, à cette date, nous avions déjà toutes les données nécessaires et suffisantes, pour faire ce genre de petites analyses avec juste un tout petit peu de bons sens. Nous avions l’expérience de la chine, la Corée du Sud, Taïwan… et même un peu de l’Italie… Il y avait pourtant des évidences !

Et quand à partir de cette date, le Coronavirus a commencé à exister, rapidement il n’y a eu plus que lui.

Vous me direz si vous êtes d’accord : « Chacun son Mange-Cailloux !!! »

Cependant, on peut remercier le journaliste David Pujadas, sur LCI dont le titre Youtube est « Coronavirus tout était faux – Panique à bord du vaisseau média mensonge », d’avoir rétabli en partie la vérité :

https://www.youtube.com/watch?v=u851syACGoY&fbclid=IwAR0H03kQzfTy_TmNC3t-yCMtmWOfDLN7zmFC1nxHc5_HRhJ93_HE8P9-M5Y

Il parle de la remise en cause du taux de létalité de 3,5% (10 fois celui de la grippe) à 0,5%, des enfants initialement contaminateurs qui en réalité ne le sont pas, et de la sensibilité à la chaleur et donc de facto à quelque chose près de la saisonnalité.

Oui, là encore pour défendre l’idée que le confinement a aidé à lutter contre le Coronavirus, les techno-virologues soutiennent encore la thèse que le virus n’a pas de saisonnalité et dans le même temps qu’il faudra se préparer à une seconde vague à partir de novembre prochain. C’est vous dire s’ils ont les fils qui se touchent !!! Hein ? À moins qu’ils se foutent de nous ? Oh, ben je n’y avais pas pensé !

À voir également,

https://www.youtube.com/watch?time_continue=263&v=sfNaRWj0_EE&feature=emb_logo

En synthèse,

La lecture du tableau montre que le confinement a généré une mortalité supérieure à si l’on n’avait rien fait. Sans commentaire. En revanche, la séparation additionnée de traitements s’avère efficace.

Mais alors, la santé, dans un pays confiné, comment qu’c’est t’y qu’ça marche ? Ah, et bien c’est pas compliqué ma bonne dame, je m’en va vous en expliquer.

Et bien c’est le triple effet kiss-cool !

  1. Les urgences étant transformées pour une grande partie en zone Covid19, il semblerait que bon nombre de patients seraient morts d’autres pathologies chez eux parce que pas traités comme pour des insuffisances cardiaques, embolies pulmonaires, dégradation de pathologies chroniques… des gens qui auraient dû être sauvés dans des conditions normales. Les hôpitaux vides, ceci aurait donc conduit à un accroissement de la mortalité non Covid19, y compris dans les zones très peu infectées
  2. S’étant passé de 95% de notre force de frappe sanitaire et médicale, médecins généralistes, cliniques privées (surtout au début), les hôpitaux, évidemment très vite engorgés puisque vous n’aviez que le droit d’appeler le 0 800 machin pour vous dire de faire le 15 (c’est efficace, hein ?), ont dû tout bonnement laisser mourir des gens sur le critère de l’âge. Les EHPAD, on n’en parle même pas. Na ! Par contre s’ils pouvaient venir gonfler les chiffres…

Pour les points 1 et 2 je vous recommande de lire cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=IjzCe5vJGH0

  1. Il semblerait que selon une étude espagnole portant sur plusieurs dizaines de milliers de gens, on montre que ceux qui sont allés au travail comme d’habitude, ont globalement été moins infectés que ceux qui ont été confinés sans distinction. En même temps, quand on réfléchit un peu, ça n’a rien d’étonnant !!!

Enfin, aujourd’hui les chiffres sont là. Les médecins qui ont fait un travail de médecine, c’est-à-dire, diagnostiquer puis traiter, que ce soit avec la combinaison hydroxychloroquine et azytromicine la solution du Prof. Raoult ou une autre solution sérieuse, il en existe plusieurs, ont obtenu chez les patients admis un taux de mortalité de l’ordre de 0,5% (dans l’univers des 181 826 personnes séropositives confirmées à ne pas confondre avec le 0,5% de l’univers des 6,7 millions de personnes immunisées estimées et donc qui ont été contaminées par le virus ; la confusion est fréquente chez nos techno-virologues pour décrédibiliser ceux qu’on choisit de traiter) quand ceux qui n’ont rien fait, à part intuber, sachant qu’en plus il semblerait que ça n’était pas nécessairement la solution, ont obtenu un taux de mortalité de l’ordre de 3 à 6%. Attention aussi, si vous faite 28 215 / 181 826, vous trouverez 15,4%, c’est parce que beaucoup sont morts estampillés du Covid19 sans qu’ils aient pour autant été pris en charge. Évidemment.

À visionner absolument :

https://www.mediterranee-infection.com/comparaison-des-courbes-epidemiques-selon-villes-et-pays/

Si un doute persiste, dans les établissements qui n’ont pas traité, pratiquement toutes les tranches d’âge ont été touchées, évidemment, en particulier les sujets les plus âgés, mais ceux qui ont traité tout le monde, pas un seul patient mort en deçà de 60 ans. Zéro. Point. La messe est dite.

C’est ce qui fait toute la différence entre les technocrates-virologues ou -chercheurs… -spécialistes, les petits marquis, qui veulent une solution spécifique à chacune des pathologies, qui correspond à une vision administrative des choses à ceux qui font de la vraie médecine, humaine, aussi imparfaite soit-elle, c’est-à-dire faire avec les moyens dont on dispose. Pour rappel, nous étions en guerre contre le Covid19. Il ne faut pas confondre médecine et recherche.

Bilan, si nos chers fonctionnaires et technocrates n’avaient pas monopolisé la santé avec leurs protocoles qui consistent à empêcher les gens de se soigner en attendant un médicament spécifique ou vaccin dont la conception prendra des mois, si ils trouvent un jour, nous aurions eu,

  • 6 fois moins de morts du Coronavirus, pour le coup, à coup sûr, soit un taux de létalité inférieur à 0,1% (soit 0,07%) (grippe, c’est 0,3%).

Notez que plutôt que d’attendre que la maladie progresse sur les formes les plus graves qui donc nécessite une assistance respiratoire, si les gens avaient été traités, il est à n’en pas douter que nous aurions eu, idem, au moins 6 fois moins besoin des services de réanimation, donc pas d’engorgement des services de réanimation des hôpitaux sans confinement !

  • Eviter sans doute quelques centaines ou milliers de morts qui auraient dû être hospitalisés pour une pathologie totalement étrangère au Covid19, alors que le reste des services des hôpitaux sont vides.

Bientôt, en prime, nous compterons nos morts économiques.

Nous aurons donc tant sur le plan de la santé (Covid19 et autres pathologies) que celui de l’économie, un surplus global  de 20 000, 30 000, 50 000… morts de l’effet de l’irresponsabilité de nos technocrates à gérer l’arrivée d’un nouveau virus, dont ils ont voulu le monopôle, communément appelé Coronavirus ou Covid19 ?

Si toutes les personnes de moins de 60 ou même 65 ans, donc ceux qui travaillent, n’avaient pas été confinées et si pour celles qui auraient alors développé les premiers symptômes avait été traitées, le nombre de morts aurait été infiniment inférieur, le taux d’immunisation de la population des 60 ou 80% aurait été plus rapidement atteint et le Covid19 serait devenu insignifiant plus rapidement comme il finira par l’être de toutes façons comme tous les coronavirus. Autant dire qu’un vaccin ne sert à rien. Et accessoirement, cela aurait éviter une crise économique sans précédent.

Nos technocrates ont, ce que je croyais impossible, parfaitement réussi à illustrer ce qu’est que « l’effet papillon ».

Un grand BRAVO donc à nos technocrates, élus et fonctionnaires, on ne les remerciera jamais assez.

Je peux me tromper dans mon analyse que je sais imparfaite, mais c’est mon Mange-Cailloux à moi que j’espère être plus chargé de raison que d’émotions lesquelles conduisent souvent à des catastrophes.

 

Un bonus/test :

Imaginez une feuille de papier à cigarette suffisamment longue pour que vous puissiez la plier en deux 45 fois. Quelle épaisseur pensez-vous que ferait alors le bloc de feuille, sachant que l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette est de 10 micromètres ?

Bon, euh, 1 micromètre c’est 10-6 m, soit 0,000001 m

Alors ?

Réponse plus bas…

 

 

Vous êtes à environ seulement 30 000 km de la lune sachant que la lune est à 380 000 km de la terre.

0,000001 x 10 x 245 = 351 844 km !!!

Surpris ? Non ? Alors maintenant, vous avez le droit de vous présenter à des élections ou même être ministre de la santé. Ouf.

 

Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.

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Le Connerievirus

Le 20 janvier 2020 en Corée du Sud, le premier cas confirmé de coronavirus, est une femme chinoise de 35 ans. Puis de 30 cas le 17 février, le 24 février le nombre explose et progresse à 800.

La Corée du Sud, forte de ses expériences du SRAS en 2003 et surtout du MERS en 2015, a mis  en place de nouveaux protocoles pour lutter contre les maladies infectieuses et répondre à une pandémie.

La Corée du Sud, pays en expansion, une économie prospère, classé au 25ème rang selon l’indice de liberté économique (ILE)   https://www.heritage.org/index/ranking   , choisit le dépistage en masse (20 000 tests par jour) et de soigner la population plutôt que de la confiner, le tout accompagné d’une communication transparente.

4 entreprises sont habilitées à fabriquer des kits de dépistages, 140 000 sont produits et utilisés par semaine, répandus dans plus de 500 cliniques dont 40 ambulantes.

Seules les personnes atteintes sont confinées et soignées avec la chloroquine ou son dérivé.

Source :   https://www.eficiens.com/coronavirus-statistiques/

Un truc de dingue se produit alors !

Il n’aura fallu qu’1 semaine depuis le 24 février au 1 mars, pour inverser l’évolution exponentielle de la pandémie et 2 semaines de plus pour voir la courbe franchement s’aplatir.

La Corée du Sud accuse 120 morts pour 9 037 diagnostiqués positifs au 23 mars pour une population de plus de 51 millions touchée par le virus depuis plus longtemps que nous.

La France (66ème rang selon l’ILE) comme l’Italie (76ème), pays en faillite ayant pour principale cause leur technocratie, touchées plus tardivement par le coronavirus et donc qui aurait dû bénéficier de l’expérience de la Corée du Sud, choisissent l’archaïque confinement (méthode moyenâgeuse) avec le résultat que l’on connait, soit respectivement au 24 mars, 1 100 et 6 820 morts.

C’est le choix de la Chine (108ème rang selon l’ILE), pays des droits de l’homme et de la liberté que l’on connait.

C’est le choix de la Chine, oui, mais en moins bien. En France, en Italie, on ne soigne pas. La chloroquine et le Prof. Raoult sont dénigrés par nos hautes instances administratives de la santé.

Qu’ont décidé nos technocrates aussi prétentieux qu’instruits sélectionnés par notre chère éducation nationale (chère vu le budget et en plus eu égard aux résultats PISA obtenus, ce n’est rien de le dire) ? :

Macron : « Le virus n’a pas de passeport »

Peut-être qu’une mesure préventive visant à limiter le nombre de cas entrants sur le territoire aurait été la bienvenue ?

Cela aurait été peut-être l’occasion d’installer par exemple de manière définitive les systèmes qui consistent à prendre la température à la sortie des avions, cela existe depuis bien longtemps dans les pays asiatiques, ce qui a probablement limité le nombre de cas en Corée depuis la Chine.

Le confinement est adopté. Cela se traduit de la manière suivante :

« Restez chez vous, sinon amende de 135€ (au passage, des salauds ont pris plaisir à la délation quand d’autres plus lucides transgressaient ces stupides règles que d’interdire l’accès à un parc, une forêt, une aire de jeux… ça ne vous rappelle rien ?),

MAIS

allez voter pour nous élire

prenez nos transports en commun, principal vecteur de contamination

Les masques sont envoyés en Chine. En France, les masques, c’est bien connu ne servent à rien.

On ne soigne que les cas graves. Autrement dit, quand c’est trop tard, l’histoire de mettre nos personnels soignants à rude épreuve et d’engorger nos services hospitaliers sous-équipés et donc défaillants. Et cela permet également de faire durer la période contagieuse.

Les cliniques privées (gestion responsable) demandent à être réquisitionnées, parfois sans succès.   https://www.huffingtonpost.fr/entry/coronavirus-les-hopitaux-prives-veulent-etre-requisitionnes_fr_5e777307c5b6f5b7c5461687?ncid=fcbklnkfrhpmg00000001&fbclid=IwAR0Yon0rlrCSbl7_4e0jqRhNGjzNoeK457nTTa_cWjYAUiS3Ice-MZmUPhQ

L’amendement pour ordonner le dépistage massif du coronavirus est déclaré « irrecevable »    https://www.facebook.com/DelphineBatho/videos/665092737573694/

Et pour couronner le tout, la seule usine en France habilitée à produire de la chloroquine, Famar, est en redressement judiciaire !   https://www.usinenouvelle.com/article/en-redressement-judiciaire-l-usine-famar-lyon-en-pole-position-pour-la-fabrication-de-chloroquine.N945741

Les charges, taxes et fiscalité en tout genre  auront eu la peau de cette entreprise pour nourrir notre ogresse administration.

Je ne sais pas pour vous, mais j’ai bien l’impression que tout est mis en œuvre pour que le coronavirus puisse prospérer et contaminer le plus de monde possible. Pour faire durer le plaisir nos technocrates s’acharnent sur l’unique méthode de confinement qui ne sert à rien.

En réalité, je ne crois pas une seule seconde à un complot du genre. La réponse est définitivement Non.

Mais alors, comment est-ce possible ?

La connerie. Tout simplement.

Celle que l’on retrouve dans la jalousie.

Voyez-vous le Prof. Raoult qui dirige l’IHU de Marseille, la référence dans le monde, est probablement quelqu’un de brillant. Personnellement je n’en doute pas un seul instant. Il s’agit d’un miraculé. À le voir, l’écouter, c’est clairement quelqu’un d’atypique, hors système.

Dans les systèmes où la responsabilité ne pèse pas sur les individus, le monde du salariat, la fonction publique… bien souvent les personnes les plus brillantes sont éliminées d’office.

Ceux cherchant le pouvoir ou la reconnaissance et qui n’en ont en réalité pas les moyens qu’ils en soient conscients ou pas, s’accordent, sans même qu’il y ait eu concertation, autour d’un intérêt commun, à éliminer ceux qui leur paraissent être leurs principaux rivaux.

Au pouvoir, les médiocres c’est à dire ceux qui ne sont pas lucides sur leur condition humaine, représentant la grande majorité, alimentent le système par lequel ils ont été promus, mettent en place des procédures, protocoles, multipliant les organisations, façonnant une technocratie si lourde, que plus aucune responsabilité n’est engagée… afin de se protéger et imposer leur légitimité. Le système est devenu si étanche que la seule manière de le pénétrer est la cooptation, ce qui est contraire à l’idée de la démocratie que l’on nous vante tant.

La conséquence directe est que plus aucune décision sensée ne peut plus en sortir.

Aujourd’hui, le système dont des représentants comme le Haut Conseil de santé publique, l’OMS, alors que la chloroquine distribuée par millions depuis des dizaines d’année, dont l’efficacité a été prouvée en grandeur nature en Corée et ailleurs, appellent à la prudence, en réalité dans le seul but de rappeler leur seule légitimité :

“Des études réduites et non randomisées, réalisées à partir d’observations, ne nous apporteront pas les réponses dont nous avons besoin”, a averti le directeur général de l’OMS.

À ce rythme, il faudra plusieurs mois en France pour obtenir les résultats tant attendus là où la Corée du Sud aura mis 1 semaine.

Alors évidemment, s’agissant le cas présent de santé publique, l’efficacité de notre technocratie où le pouvoir est centralisé,  est immédiatement visible, il suffit de compter le surplus de morts qui s’accumulent en France à comparer à ce qui aurait pu être s’il on avait fait comme en Corée du Sud ou plus proche de nous, l’Allemagne.

Mais n’ayez crainte, il en est de même pour tous les secteurs d’activités économiques.

Le coronavirus aura été seulement un révélateur du secteur de la santé, notre système de santé issu du pouvoir.

Le pouvoir insensible au monde sensible.

C’est le pouvoir insensible à la réalité où tout est bien administré, ordonné, planifié en opposition avec le monde libre et sensé où il y a sans doute un peu de désordres, certes, mais qui en somme est le reflet de la VIE.

Les plaintes, légitimes elles, n’y changeront rien.   https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/info-franceinfo-coronavirus-au-moins-cinq-plaintes-deposees-contre-edouard-philippe-olivier-veran-ou-agnes-buzyn_3884011.html

Au mieux, ils seront « responsables mais pas coupables ».

La question est : Alors y-a-t-il un traitement contre le connerievirus ?

La réponse est non. Nous l’avons tous en nous. Pour s’en prémunir, il suffit de changer de système. Il en existe mais il faudra attendre l’effondrement de celui-ci.

Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.

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Le mème du Coronavirus

Simplement, un mème est l’équivalent de ce qu’est qu’un gène mais au niveau de la pensée, de l’idée. Autrement dit, un même est une idée souvent bien implantée.

Un même « se transmet » ou « contamine », selon sa qualité (revoir les sujets de philosophie sur le thème de la vérité), selon les principes du réseau neuronal. Il y a principalement les réseaux internet et bien sûr la télévision.

Image tirée du site (indispensable à consulter)          http://www.pensee-unique.fr/

C’est tellement vrai qu’on peut se passer de commentaires !

Concernant, le Coronavirus quand le sujet a commencé à réellement passionner les populations, c’est-à-dire début mars, on entendait des taux de mortalité annoncés de l’ordre de 10%. À cet instant l’idée qui consiste à nous faire croire qu’il s’agissait d’un virus extrêmement violent s’est implantée. On a vite parlé d’un taux de 2%. Il n’en restait pas moins que dans les esprits cela reste énorme.

Même encore certains sites n’hésitent pas à comparer le coronavirus avec la grippe espagnole qui a fait 50 millions de morts en 1918 (plus que la guerre) : « Si la Chine a pris des mesures drastiques de quarantaine et de désinfection qui concernent près de 60 millions de personnes, le virus, comparable à celui de la grippe espagnole, se répand maintenant partout dans le monde paralysant des pays entiers ».

https://www.notre-planete.info/actualites/4135-coronavirus-epidemie-Chine-Europe-monde

« Depuis 2001, le média de référence en environnement et sciences de la Terre »

Ils ne chient pas la honte, ceux-là !!!

Rappelons aussi, que ce n’est pas le coronavirus qui paralyse des pays entiers mais les imbéciles mesures pour l’endiguer.

Donc plutôt que de regarder la télé ou les sites internet qui veulent se rendre intéressant, à partir des chiffres officiels :       https://www.eficiens.com/coronavirus-statistiques/

Froidement, si on veut avoir une idée à peu près juste sur la question du taux de mortalité, il suffit de reprendre 3 exemples :

  1. Les chiffres de la Corée. Tous les coréens qui ont senti le besoin de se faire dépister l’ont été, sachant que tous les contaminés n’en ont peut-être pas ressenti le besoin. Donc le ratio décès/contaminés sera très, très conservateur.

Au 21 mars, nous avons               104 / 8 897 = 1,17%

  1. L’exemple du Professeur Didier Raoult épidémiologiste à l’IHU de Marseille, la référence en France.

Les japonais ont mis environ 3000 personnes dont la moyenne d’âge était de 60 ans sur un navire de croisière, 696 ont été contaminées et 7 sont mortes, soit un taux de mortalité de 1% , sur un échantillon de la population qui est la plus à risque.

  1. Les chiffres de l’Allemagne qui procède aussi au diagnostic de masse. Au 21 mars, il en ressort 77 / 16662 = 0,46%

Les nombres de morts liés au coronavirus sont probablement bien comptés. En revanche, il existe probablement plein de cas de contaminés qui n’ont pas été diagnostiqués.

On peut penser être très conservateur si l’on fait l’hypothèse qu’au moins 1 personne sur 2 qui a été contaminée par le coronavirus ne s’est pas faite diagnostiquer pensant à un simple rhume ou une simple rhino laryngite ou pharyngite.

Dans ces conditions on peut en déduire que le taux de létalité est de l’ordre de 0,2% ce qui est peu ou prou celui de la grippe.

Il ne vous aura sans doute pas échappé un autre ratio intéressant induit de l’exemple du Professeur Raoult ?

Voyez-vous, pour bien affoler la population, le ministère de la santé, technocratie de haut niveau, annonçait concomitamment un taux de contamination de 60 à 70%. Conjugué à un taux de mortalité de 10%, dans l’esprit des gens cela faisait des MILLIONS de morts. Pour vous épargner le calcul, environ 4.

Seulement sur le bateau de 3000 personnes avec toute la promiscuité que cela implique, avec une population à risque âgée en moyenne de 60 ans, seulement 696 ont été atteintes. Soit seulement 23%. Si l’on ramène cet échantillon à toute la population, le ratio pourrait être ramené tout au plus à 10% de taux de contamination. Sachant que les personnes âgées de plus de 60 ans ont au moins 10 fois plus de chance d’être contaminées.

Aïe. C’est encore peu ou prou un chiffre proche de celui de la grippe.

Une première conclusion s’impose.

On passe donc de  10% à  0,2%  le taux de mortalité et On passe de  60-70% à 10%  le taux de contamination. Soit une espérance de   4 millions   à   12 000   morts au maximum. Soit l’équivalent d’une bonne grippe. C’est tenace !

Pensez-vous sincèrement que vous auriez accepté tout ce bazar, le confinement, d’immobiliser le pays…, si l’on avait annoncé les bons chiffres directement ? Si vous êtes un minimum honnête et si vous prenez bien conscience de ce que représente la force d’un mème, la réponse est clairement NON.

Voyez-vous, pour prendre de bonnes décisions et c’est bien cela que l’on demande à ceux qui nous gouvernent, la première des qualités et de savoir rester lucide pour être capable de se poser les bonnes questions.

Réagir sous le coup de l’émotion est la plus grande bêtise qui soit. L’histoire montre que de nombreuses catastrophes trouvent souvent leurs origines les meilleures intentions.

UNE AUTRE ANALYSE

La Chine a circonscrit le coronavirus en choisissant le confinement strict de la région infectée (59M de chinois et non toute la Chine entière 1,5 milliard) avec les conditions qu’on connait. Mais enfin, c’est la Chine ! Ce n’est pas le pays le plus libre, ni le plus cool du monde !

Après 15 jours de confinement, l’Italie continue de compter ses morts qui croissent de manière exponentielle, comme l’Espagne. Evidemment la France suit le pas. Comment pouvait-il en être autrement ?

Si le confinement fonctionnait, sachant que le virus a une durée de vie de 5 jours à l’extérieur, après une dizaine de jours au plus nous devrions voir le nombre de nouveaux cas quotidiens diminuer. Mais ce n’est pas le cas.

Force est de constater que le confinement à l’européenne n’est pas efficace, il limite tout au plus la propagation rapide du virus. Il fait durer le plaisir. C’est un échec

Einstein : « La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent. ».

Voyez-vous, la Corée, ou encore l’Allemagne, sont deux pays qui ont fait le choix de diagnostiquer en masse pour ensuite confiner et traiter les contaminés. Leurs taux sont les plus bas avec des chiffres en valeur absolue très faibles.

L’Allemagne (77 décès) n’a pas pris que des bonnes décisions mais toujours est-il que la Corée est pour ainsi dire sortie d’affaire avec seulement 104 décès au 21 mars pour une population comparable à la nôtre (51 M d’hab.).

La Corée est un pays en expansion où l’indice de liberté économique classe le pays au 25ème rang mondial. La Corée est le pays qui a le mieux réagi face au virus et a prouvé que le confinement est inutile.

Un petit tableau récapitulatif vaut mieux que tous les discours :

Source : https://www.heritage.org/index/ranking

La messe est dite.

Les deux pays qui ont les indices de liberté économique les plus forts ont montré des systèmes de santé performants, c’est-à-dire une réflexion, une réactivité, une organisation que les autres n’ont pas.

La vérité est que les autres pays ne savent pas faire, ils sont victimes de leur technocratie avec des frais de fonctionnement prohibitifs liés à leurs administrations. C’est tout. Ils peuvent avoir les meilleurs personnels soignants du monde, cela n’y changera rien.

Le subterfuge

Nos technocrates seront capables de s’en sortir et nous faire croire que lorsque l’on sera sorti de leur crise sanitaire, parce que c’est quand même bien eux qu’ils l’ont provoquée (cf article précédent), que c’est grâce à eux.

C’est juste une question de temps.

En effet, si on se prête à un petit exercice, qui consiste à admettre qu’il y aura 6 millions de personnes touchées en France (10% de la population calculée plus haut) avec un taux de croissance quotidien moyen de 20% (cf statistiques), à partir du nombre de cas 14 459 au 21 mars, en résolvant cette petite équation   14 459 x (1 +20%)^n = 6 000 000, l’objectif sera atteint dans 33 jours.

Alors évidemment ce simple calcul, dont la méthode peut être discutable tant le principe de l’entropie n’est pas respecté,  parce qu’après la phase d’accélération il y aura une phase de ralentissement, ce qui peut impliquer une période plus longue, a tout de même le mérite de donner une idée de la durée de l’épidémie active et donc de la durée du confinement nécessaire pour faire l’illusion. S’ils veulent être certains de leur coup, une période prolongée de, disons, 45 jours serait tout indiquée.

Un commentaire que je trouve important de rappeler ici de mon précédent article pour relativiser l’importance du coronavirus  :

Effectivement, la grippe c’est 250 000 à 500 000 morts par an dans le monde.
Le coronavirus en a fait au 20 mars 10 389.
Mais c’est toute la différence entre un bon et un mauvais virus.
Quand on a la grippe, on peut mourir tranquillement chez soi. Ça ne se voit pas. Quand on a le coronavirus, et qu’on est en détresse respiratoire, on va à l’hôpital. Avec la grippe l’image de notre système de santé ne risque rien. Le coronavirus montre que notre système de santé est défaillant.
Le coronavirus servira donc de bouc émissaire de la crise économique et de la faillite de nos États.

Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.

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C’est l’histoire du petit coronavirus

Il était une fois… … … non, stop !

Ici une vision claire sur ce que sont les Coronavirus, leurs impacts réels et les vraies préconisations, donnée par le professeur Didier Raoult de l’IHU de Marseille :

Le problème, voyez-vous, est que tout est aujourd’hui géré à partir des émotions, elles-mêmes générées à partir des apparences et ensuite traité de manière administrative. Notre bureaucratie, motivée par sa propre survie, génère des opinions formées à partir d’informations systématiquement biaisées par le jeux des élus (lesquels avant tout souhaitent être élus) et des journalistes (lesquels avant tout souhaitent vendre du papier), accouche de fait de décisions, de règles, de procédures, totalement inadaptées à la vie réelle, en somme tout ce que notre bureaucratie ne connait pas et donc génère systématiquement des contreperformances. Et c’est comme cela pour tout. Et le pire est qu’on paie très cher pour ces résultats.

Il est effectivement, par exemple, très difficile de fermer les transports en commun quand on a préalablement diabolisé les transports individuels. Si beaucoup de nos produits de consommation sont importés, c’est essentiellement parce que préalablement, la fiscalité, les charges pèsent lourdement sur nos entreprises et que certaines d’entre-elles pour rester compétitives n’ont pas eu d’autres choix que de se délocaliser plutôt que d’entretenir une administration cancérigène. Et à chaque nouveaux problèmes, de nouvelles commissions apparaissent comme de nouvelles métastases et ainsi de suite… Le cancer, que dis-je, l’État grossit.

Il en est de même pour l’idée que le gasoil pollue plus que l’essence, mais dont les règles de bonus/malus pourraient laisser penser le contraire, que le CO2 implique le réchauffement climatique… . La recette ? Une idée simpliste facile à retenir, une bonne propagande en agitant le spectre de la mort, et ça devient une religion.

Bon heureusement, nos banques et assurances sont bien protégées avec toutes les exceptionnelles règles prudentielles que sont Bâle 2 et 3, les normes FRTB… et j’en passe, préconisées par les autorités “compétentes”. Nos institutions financières sont capables de faire des calculs d’une précision au millième de bp près (0,00001%) pour assurer leur solvabilité. Donc rassurez-vous, tout va bien. Nos pays peuvent continuer à s’endetter, pour votre bien… et celui des marchés financiers au détriment de la véritable économie, y compris celle de la véritable économie de marché, quand bien même la plupart de nos entreprises ou ménages ne pourraient s’endetter au quart de ce que le sont la plupart des pays. Mais alors, à quoi servent les plans de rachats de dettes par la BCE de 20 milliards par mois depuis le mois de décembre? Les règles prudentielles sont tellement efficaces qu’on peut se demander pourquoi il a été décidé une perfusion de 120 milliards le 12 mars dernier et 750 milliards le 19 mars avant l’ouverture des marchés? Ça doit être pour acheter des malabars… nos banquiers adorent faire des bulles.

Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais plus il y a de la fausse monnaie, donc plus les taux sont bas voir négatifs, et plus il est clair que l’ensemble des actifs sont sur-évalués – ce qui ne pose aucun problème à nos scientifiques de la gestion actif-passif de nos banques (parce que c’est une science aujourd’hui, si, si, pour continuer à fabriquer de la dette) – , plus on a l’illusion d’être riche, par la valorisation des nos biens et plus on a des difficultés à manger et plus il y a de besoins d’aides sociales et plus il y a de pauvreté…
À contrario, une entreprise bien gérée, si elle voit son CA baissé de 10% (il y en a des millions comme ça), sa pérennité est rarement engagée.
Mais si le pays passe de 1,7% de croissance de son PIB à 1,6%, c’est une catastrophe.
NB : le PIB est calculé non pas par la sommes des richesses produites comme le laisse entendre l’acronyme, mais par la somme des dépenses… dettes comprises. Et oui ! Les dépenses ne génèrent pas forcément de la richesse. Ça se saurait !

Le malheur, est que nos États sont, pardonnez-moi l’expression, endettés raz la gueule et même plus (plus de 100% du PIB en France). Alors quand ils comptent sur des perspectives de recettes fiscales calculées à 0,01% près, pour assumer leurs dépenses, soit faire vivre leurs administrations et financer la plupart du temps d’imbéciles projets ou pire rembourser pour partie seulement les intérêts d’emprunts déjà contractés et bien oui, c’est une catastrophe.
Un proverbe dit : “il ne faut pas compter les œufs dans le cul de la poule”. Nos États comptent les œufs des poules qui ne sont même pas encore venues au monde !

Et le coronavirus, dans tout ça, il est petit comment par rapport au 0,00001% ? Pardonnez-moi encore, une autre question bête : Quelle est la relation entre le coronavirus est la perte de 40% des marchés boursiers ? Ne serait-ce finalement pas la dure loi de la théorie du chao dont l’illustration est qu’un battement d’aile de papillon provoque une tempête à l’autre bout de la planète ? Dans tous les cas, si cet épi-phénomène au sens strictement médical cause de tels dégâts, cela fait la preuve de l’échec de nos technocrates et de leurs décisions aussi instruits que prétentieux du monde entier, mais dont la France obtient le prix du public avec palme. Merci pour eux. En même temps, ils ne peuvent pas s’empêcher de vouloir se sentir utiles. Alors évidemment, ce n’est pas facile pour eux.

Pour résumer, les mesures prises pour endiguer le coronavirus sont inefficaces. Les premières informations concernant le virus datent de décembre. Les mesures successives prises en janvier et février par la Chine ou la Corée, compte tenu des doutes de la “gravité” du virus, auraient pu permettre de prendre des précautions pour mettre en confinement les arrivants sur le territoire. Les autorités françaises et allemandes attendent 60 à 70% de la population contaminée. Les chinois auraient dû toutes proportions gardées avoir 1 milliard de contaminés. Ils n’en ont eu que 100 000, soit 1000 fois moins. On ne parlera pas de la gestion des masques…

Ensuite, il aurait suffit de diagnostiquer tous ceux qui se présentent. De confiner, ceux qui sont déclarés contaminés et de les soigner. Suis-je bête ? C’est à dire ce que fait normalement un médecin. Cela aurait été beaucoup trop simple et sans doute pas assez cher comparé aux 870 milliards d’euros dépensés uniquement pour soutenir les marchés financiers. Comme ça on sait où il va notre “futur” argent. Il faudra payer.
Non, on préfère balancer un discours alarmiste (peu sont capables de rester lucides y compris chez les scientifiques comme dans le corps médical) pour confiner tout le monde avec les résultats que l’on connait, empêcher la réelle économie de tourner et dire que c’est le coronavirus qui est la cause de cette crise économique (financière) exceptionnelle.

Aussi, il ne vous aura pas échapper que si notre structure médicale n’est pas performante, ce n’est pas la faute à nos personnels soignants, courageux, mais c’est par manque de moyens (pour les soins intensifs : 25000 lits en Allemagne, 7000 en France et 5000 en Italie) ou plutôt à cause d’un surcoût colossal, celui de son administration inutile voire contreproductive qui empêche de faire de vrais investissements pour la médecine.

La prochaine question sera sans doute, combien de morts seront attribués au coronavirus et combien seront attribués aux mesures exceptionnelles qui ont enrayé la véritable économie?
Mais une chose est certaine, c’est que la totalité de ces morts aura eu pour origine notre chère technocratie.

Mais rassurez-vous, dîtes-vous que l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.

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