Chloroquine ou pas

Je rebondis sur l’article de Henri Dumas pour donner quelques informations complémentaires.

La chloroquine :

Ce médicament est un antipaludéen d’usage ancien et très bon marché.

Le traitement ne coute pas cher mais évidemment il ne faut pas en abuser et surtout ne pas faire comme cet homme qui a pris un produit pour nettoyer les aquariums au motif qu’il était indiqué qu’il y avait de la chloroquine à l’intérieur !?!

Les pontes de Paris n’autorisent l’usage de la chloroquine que dans des conditions très restrictives et surtout ont décidé, décret à l’appui, de ne l’administrer qu’aux malades déjà gravement atteints !

Le problème est que le docteur Raoult a défini, dans son protocole, qu’il fallait administrer ce médicament aux malades en début de maladie et non lorsque la maladie a atteint une phase aigüe car alors il devient inefficace !

Les médecins de Paris voudraient démontrer que la chloroquine n’est pas efficace qu’on ne s’y prendrait pas autrement !

Les masques :

On sait désormais que l’administration a fait l’impasse sur les masques FFP2.

Pour rattraper le coup, le gouvernement a commandé un milliard de masques à la Chine.

Certains ont commencé à arriver (par pont aérien) mais il semblerait qu’il y ait des problèmes de conformité pour un certain nombre qui sont donc rejetés.

Par ailleurs, une quantité non négligeable de ces masques a du mal à arriver jusqu’ici pour une raison tout à fait surprenante.

Les américains auraient mis leurs dollars sur la table pour acheter 3 ou 4 fois plus chers les masques en cours d’acheminement …

Du coup, les chinois détournent les cargaisons en cours d’acheminement et les masques commandés n’arrivent pas en France !

Autrement dit, que ce soit la chloroquine administrée selon un mauvais protocole ou les masques commandés qui disparaissent aux USA, nous ne sommes pas sortis de la pénurie !

Nous mesurons tous les jours l’efficacité redoutable de l’administration française …

Bien cordialement à tous !

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A propos Dominique Philos

Navigateur, né en 1958, après un DEA de droit commercial de l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne, je suis devenu Conseil Juridique, spécialisé en droit des affaires et fiscalité. L'Etat ayant décidé l'absorption des Conseils juridiques par les avocats, j'ai poursuivi mon activité en tant qu'avocat jusqu'à ce que je sois excédé par les difficultés mises à l'exercice de mon activité professionnelle. J'ai démissionné du Barreau en 1998 et partage désormais ma vie entre la France et la Grèce. Européen convaincu, je suis persuadé que le libéralisme est la seule option possible en matière économique.

2 réflexions sur « Chloroquine ou pas »

  1. Bonjour à tous

    https://www.petition-chloroquine.fr/signature

    Monsieur le Président,
    En tant que citoyen responsable, et victime potentielle de l’épidémie actuelle, je vous demande d’abroger immédiatement le décret du 26 mars.
    Ce décret interdit aux médecins de terrain de prescrire l’hydroxychloroquine à leurs patients, même s’ils sont malades du Covid-19.
    C’est un véritable scandale, car c’est le seul médicament qui a montré une efficacité contre cette maladie :
    • Les Chinois en ont vérifié l’efficacité dans plusieurs études et l’ont recommandé à leurs médecins ;
    • Le Professeur Raoult à Marseille a des résultats préliminaires très encourageants avec ce médicament, surtout quand il est associé à un antibiotique, l’azithromycine ;
    • Les médecins italiens ont reçu l’autorisation de le prescrire à leurs patients et commencent à avoir de vrais succès.
    Il faut d’urgence l’autoriser à nouveau en France, comme le font la plupart de nos voisins.
    Si les médecins généralistes prescrivent ce médicament suffisamment tôt aux personnes atteintes du COVID-19, on pourrait éviter des hospitalisations et sauver des vies humaines.
    L’hydroxychloroquine est un médicament très sûr, sur lequel les médecins ont des dizaines d’années de recul.
    Jusqu’au mois de janvier 2020, il était même en vente libre en France – preuve qu’il était considéré comme sans risque par les autorités.
    Et surtout, ce médicament est notre meilleur espoir, à l’heure actuelle, contre le nouveau coronavirus.
    Voilà pourquoi il faut immédiatement redonner au médecin la liberté de prescrire l’hydroxychloroquine.
    En signant cette pétition, Monsieur le Président, je vous demande d’abroger immédiatement le décret du 26 mars et d’autoriser les médecins à prescrire ce médicament prometteur.
    Je compte sur vous,

  2. Ma réflexion contradictoire concernant le COVID-19 fait de façon empirique par un autodidacte. Email: etsicetaitvrai41@gmail.com

    Sujet: Le COVID-19 et la raison pour laquelle je crois que les antipaludéens sont une des solutions très sérieuses pour combattre le COVID-19 et cela en Curatif mais aussi en préventif utilisé comme un vaccin temporaire.
    J’ai écris ce document le 18 Mars 2020 et je l’ai un peu modifié et complémenté le 28 Mars 2020.

    Les antipaludéens:

    Avec en particulier La CHLOROQUINE qui a déjà fait ses preuves dans le monde entier et cela depuis plus de 100 ans en tant qu’antipaludéen, mais aussi en parasitologie, en rhumatologie : traitement symptomatique d’action lente de la polyarthrite rhumatoïde, en dermatologie : Lupus érythémateux discoïde. Lupus érythémateux subaigu. . Traitement d’appoint ou prévention des rechutes des lupus systémiques. . Prévention des lucites.
    Donc si la Chloroquine/Plaquenil était si mauvaise en terme d’effets indésirables comme on veut nous le faire avaler à grand renfort de PUB au travers des Médias, cela se saurait dans le monde entier.
    Molécule qui a récemment aussi prouvé son efficacité en France dans d’autres pays pour combattre le COVID-19, mais qui pourtant trouve de farouche résistances en France et en particulier des résistances venant surtout du monde scientifique qui est pourtant là pour guider à aider à sauver des vies, surtout quand il s’agit de personnes en danger immédiat. Je ne me lancerais pas dans le débat des intérêts de certaines forces occultes très très financières qui nous le savons ne recule devant rien pour arriver à leur fin. Mais nous sommes en droit de nous poser des questions.
    Revenons aux antipaludéens:

    La CHLOROQUINE se trouve sous les noms de: l’Hydroxychloroquine ou le Plaquenil 200mg (HYDROXYCHLOROQUINE SULFATE) , ou NIVAQUINE 100 mg (Chloroquine sulfate), ou Resochine 250 mg, ou Aralen 250mg,

    Comment j’en suis arrivé à être persuadé que les antipaludéens pourraient être la clé du moment urgent pour sauver des vies?
    Pour passer le temps mais surtout par curiosité et me cultiver et le fait que je me passionne de certains sujets, j’ai lu l’essentiel (à mon petit niveau) ce qui y avait à savoir sur ce virus, cela impliquait donc des recherches en Français et en anglais.
    Il y a environ deux semaines (début Mars), je suis tombé sur un site qui est the Coronavirus’s Worl Map of Johns Hopkins concernant la pandémie mondiale pays par pays. Voici le site: https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/opsdashboard/index.html#/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6
    Par plusieurs fois, j’ai regardé cette carte mondiale et après plusieurs jours quelque chose me gênait, mais je ne savais pas quoi.
    Et puis il y a une bonne semaine, j’ai trouvé, c’était l’Afrique qui me gênait. Quand vous regardez la carte mondiale, c’est rouge partout en occident et un peu Asie, mais sauf l’Afrique ou si peu. Et puis la question est venue pourquoi l’Afrique, un continent déplorable sur la question sanitaire et médicale ne serait-elle pas atteinte ou si peu par le COVID-19 ?
    OU: aussi la question suivante: Peut être que l’Afrique est déjà envahie par le COVID-19, mais que le COVID-19 ne peut rien ou presque rien contre les organismes Africains avec la question clé: Pourquoi ?
    Pour continuer à construire ce que je veux écrire, je n’aime pas trop, mais je dois me présenter un peu. J’ai travaillé sur des projet industriel à l’étranger, et en particulier dans les pays suivants: Ouganda, Congo PNR, Angola, Gabon, Nigéria, Djibouti, puis au Moyen Orient: Syrie, Iran, Arabie Saoudite, EAU, Sultanat d’Oman, Yémen,
    Je souhaite juste dire, que quand je parle de l’Afrique, je connais un peu. Mon travail était de la supervision des populations locales sur le terrain, sur les chantiers, en un mot avec la misère Africaine.
    Au niveau sanitaire, une des problématique en Afrique, c’est la Palu ou La Malaria. Dans le monde c’est autour de 230 Millions de cas avec environ 450000 décès par an. Cette carte montre bien que le Palu/Malaria: c’est principalement l’Afrique.
    https://fr.treated.com/blog/notre-carte-mondiale-du-paludisme
    Et puis j’ai superposé la carte mondiale du Paludisme et celle du COVID-19, et j’ai pu voir que partout ou il y a du Palu, il n’y a pas ou très peu de COVID-19.
    Pour moi et c’est strictement personnel, la clé de la résolution du COVID-19 ce sont les médicaments antipaludéens utilisés en Afrique. En un mot: le COVID-19, Le Palu/Malaria et les antipaludéens (je confirme, j’ai bien dis LES antipaludéens), sont un même sujet. Sans bien sur exclure d’autres potentiels médicaments, mais pour l’instant nous avons que cela de prêt à utilisé tout de suite et qui je le répète à fait ses preuves en terme de fiabilités et de connaissances des effets secondaires.
    Il faut savoir, que dès qu’un Africain ou des populations non Africaine on de la fièvre, (avec exactement les mêmes symptômes que le COVID-19 et la grippe) c’est bien souvent une prise d’un médicament antipaludéen (enfin pour ceux qui ont l’argent pour payer) et sans se poser plus de question car ils savent que s’ils attendent, leur futur va être compliqué avec une issue fatale pour certain d’entre eux. Et il ne faut surtout pas attendre, faut faire cela dès les premiers symptômes le premier jour. Et puis si c’était juste un coup de clim (un coup de froid du à l’air conditionné ou une grippe) un traitement antipaludéen n’a jamais tuer personne. (ce que l’on nous raconte sur des plateaux de télévisions sont des conneries) Cela explique qu’il y a un tissage de protection antipaludéen important en Afrique ce qui expliquerait le peu de cas de COVID-19 et donc une relation solide entre les médicaments antipaludéen et le COVID-19. Dans l’analyse, ne pas aussi oublier les organismes humains qui sont immunisés naturellement des souches Paludéennes à force de l’avoir trop contracté.
    Les médicaments antipaludéens que je connais sont: La Quinine, la Flavoquine, la Savarine, le Lariam, Paludrine, Nivaquine, Malarone et Doxycline 100mg.
    Ces antipaludéens s’utilisent de deux façons: en préventif (avant de partir en zone paludéenne et pendant tout le temps du séjour et quatre semaines après le retour) et en curatifs en cas de charge virale/fièvre.
    Juste un exemple de posologie donnée par le fabricant: pour la Malarone 250 mg: préventif: 1caps/jour, maxi 3 mois et en curatif: 1ér jour: 4 caps en même temps, 2éme jour: 4 caps en même temps et idem pour le 3éme jour, cela suffit pour stopper la fièvre. 72 heures après l’individu doit être hors de danher et ceci est valable pour presque tout les antipaludéens.
    Lariam: posologie: 3 puis 2 puis 1 sur 3 jours si je me souvient bien.
    Ne pas négliger la Doxycyline 100mg appelé DOXYPALU qui est un antibiotique détourné de son utilisation réelle pour en faire un antipaludéen curatif efficace.
    Si je pouvais exprimer un souhait, il serait que mon écrit soit lu par les spécialistes de l’armée dont certains services sont pointus dans le domaine des maladies Tropicales et qu’ils puissent dire si je n’ai pas trop dis de conneries et j’ai plus confiance dans l’armée que dans le civil qui mente de trop à un point de nous prendre vraiment pour des cons.
    Je finirais en disant que si les populations à confession Musulmane sont aussi moins touchées que les populations non musulmane cela vient peut être qu’ils sont tenus de faire cinq fois la prière par jour et que pour cela ils sont obligés de faire les ablutions avant la prière. https://oumma.com/priere-faire-ablutions/ . Donc de se laver les parties du corps désignées sur le site, ce qui dans le contexte n’est pas anodin en terme de transmission du virus. Et comme une bonne partie de l’Afrique est aussi Musulmane. Pour une fois, l’Afrique pourrait peut être s’en sortir un peu mieux que nous.
    Je n’étais pas chaud pour faire cet écris car je pense que je n’ai pas à intervenir sur ce type de sujet, mais je sais aussi que dès fois quand on cherche une solution, une personne très avec un très haut niveau va aller chercher la solution dans des chemins trop compliqués et qu’à la finale, la solution simple était devant “devant les yeux”. Donc je tente ma chance.
    Fin de rédaction de cette partie fait le 18 Mars 2020
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    Reprise de ma réflexion concernant le sujet ci-dessus le 28 Mars 2020
    Le COVID-19 et les antipaludéens qui pourrait être utilisés en vaccins temporaire.
    Avant de commencer, je voudrais dire que je suis déçu des gesticulations publiques en tout genre sur fond de COVID-19 qui ternisse l’image de la France et avec des conséquences graves avec toujours plus de morts.
    Donc je vais essayer d’amener à ma façon ce que je peux avec un angle différent dans le débat du COVID-19.
    CONTINENT AFRICAIN (zone 3) et le PALU.
    Quand je parle de PALU, cela inclus aussi la DENGUE
    Comme je l’avais fait dans mon précédent écris, je n’ai plus à démontrer qu’entre les Tropiques du Cancer et du Capricorne, cette zone est une zone confirmé ou le Palu est très présent. Que si on superpose la carte de ces zones de palu et celle du COVID-19, on y dénote clairement que la présence du COVID-19 est négligeable malgré un état sanitaire et médicale déplorable pour une population de 1.300.000.000 d’habitants pour l’Afrique, mais pourtant ne compte que 3300 cas de COVID-19 et 90 morts. Comptage du 24 Mars 2020. Source de JOHNS KOPKINS
    Question: Le collège d’expert Français peut-il expliquer de façon audible du pourquoi d’un si faible taux d’infection de COVID-19 et de morts sur ce continent si peuplé et doté d’une protection sanitaire si déplorable ??
    ASIE PACIFIQUE et le PALU.
    Prenons aussi l’Asie Pacifique avec l’Indonésie (en zone 3 ) avec 268.000.000 Habitants mais que 1285 cas et que 114 morts??
    L’INDE: 1.300.000.000 d’habitants, avec 1024 infectés et avec 27 morts Source de JOHNS KOPKINS du 29 Mars 2020. Même s’ il y a moins de Palu en Inde, la différence de ratio interpelle.
    Malaisie: 31.809.660 Habitants avec 2470 cas d’infection COVID-19 et de 34 morts , deux fois plus de cas d’infections de COVID-19 en Malaisie, pourtant 8.4 fois moins peuplé que l’Indonésie.
    Le collège d’expert ou/et comité scientifique peut-il expliquer cela s’il vous plait. Merci.
    Je vais tenter de l’expliquer de mon mieux:
    La Malaisie, même si elle est en zone de PALU, elle est aussi un pays riche et disons un peu plus occidental, peu peuplé et donc un état sanitaire meilleur que l’Indonésie, donc moins de PALU, donc moins de nécessité de prendre des médicaments antipaludéens que j’appelle des vaccinations temporaires, mais aussi et donc plus vulnérable au COVID-19 avec plus de cas.
    Cela est l’inverse pour l’Indonésie, plus peuplée, situation sanitaire en dessous de la moyenne, donc plus de PALU, donc beaucoup plus de protection contre le PALU avec la prise d’antipaludéens, donc presque pas d’infection au COVID-19.
    Complètement Idem pour l’Afrique.
    Pour rappel: Quand ces populations ont des symptômes de début de grippe (dans des pays chauds, donc pas vraiment un début de grippe), eux ils connaissent ces symptômes et ne se pose pas plus de question, ils se protègent de suite avec des antipaludéens et le plus souvent en automédication, comme nous ont prendrait un Paracétamol pour un mal de tête. Et ces populations savent que s’ils ne réagissent pas de suite, ce sont des complications en perspective et la mort au bout pour bien d’entre eux.
    On peut prendre le problème dans tous les sens, la problématique du PALU, les Antipaludéens et la résolution du COVID-19 sont à mon sens indissociable. Palu et COVID-19 semblent être de la même famille puisqu’il réagisse au(x) même médicament(s), à voir pour le pluriel.
    Tous les antipaludéens se prenne de deux façons:
    – en cas de charge virale, avec une prise d’attaque ex: la Chloroquine /Nivaquine
    • En curatif: pour adulte: 1er jour : 6 comprimés en une prise, puis 3 comprimés 6 heures plus tard ;
    • 2e et 3e jours : 3 comprimés par jour, en une prise à heure fixe. En maximum 5 jours, le problème est résolu. Important: rester au repos complet pour ne pas fatiguer l’organisme et si en plus vous pouvez prendre entre 3 et 5 grammes de Vitamines C Pure, vous assurez le coup.
    • En préventif: (pour tous les occidentaux qui vont dans ces zones impaludées pour des raisons X (voire si zone 1 ou zone 2 ou zone 3), donc de façon temporaire)
    • Le traitement préventif du paludisme commence le jour du départ, se poursuit pendant la durée de l’exposition au risque et se termine 4 semaines après le retour.
    Adulte : 1 comprimé par jour
    Mais je suis convaincu que d’autres antipaludéens pourraient venir en aide à la Chloroquine et cela pour la raison suivante:
    La Chloroquine agit sur du palu de zone 1, donc du petit Palu pas violent. Ce qui laisserait dire que la COVID-19 serait un petit virus, puisqu’il réagit bien à la Chloroquine.
    Les autres antipaludéens de zone 2 et de zone 3, c’est du lourd, fait pour des souches résistantes et virulentes. Ce qui me fait dire qu’un virus qui réagit à un antipaludéen pour zone 1, se ferait encore peut être mieux détruire par des antipaludéens pour des zone 2 et 3. Faudrait faire des essais avec les principaux d’entre eux en préventif ou vaccin temporaire et en curatif en période de charge virale, La Malarone 250mg, le Doxypalu ( doxycycline) , Le Lariam (mais seulement en curatif, car les effets secondaires se font sentir sur l’humeur), Savarine, Paludrine, et surement d’autres.
    Je dis avec force que ce n’est pas quand le quidam est à l’article de la mort ou à moitié mort qu’il faut se décider à lui donner sa Chloro + Antibio pour le COVID-19. Il faut que cela soit bien compris. En cas de début de fièvre, il faut une cure d’attaque.
    Ceux qui ont reçu cette posologie quand il était trop tard, leur état de santé est resté très compliqué ce qui est normal puisque l’infectieux a pris le pas sur le viral (si j’ai bien compris), et si en plus le quidam est vieux, malade et avec un système immunitaire moyen, cela va être compliqué pour lui. Donc pour évité cette phase compliqué, on traite AU DEBUT comme le PALU et comme le HIV pour éviter la casse.
    EX: avec le HIV avec la PReP c’est du préventif ou comme j’aime l’appeler “un vaccin temporaire”, tant que vous le prenez , vous êtes protégé. Si vous ne faites pas cela, il y a infection et faut passer au stade curatif pour figer le virus, mais faut pas attendre sinon c’est la destruction du système immunitaire avec les conséquences que nous connaissons.
    Le PALU c’est exactement le même schéma.
    Et je ne prendrais pas beaucoup de risque pour dire que le COVID-19, c’est le même schéma puisque le virus du COVID-19 réagit très bien à un antipaludéen et à vérifier avec plusieurs autres antipaludéens, mais je suis très confiant.
    Le traitement Chloroquine a déjà fait ses preuves en France et à l’étranger, donc dès les premiers symptômes et de la première fièvre et si en plus il y a perte du gout et de l’odeur, faut pas hésiter et ne surtout pas attendre et cela fera un client en moins en réa, et pas la peine de perdre du temps pour savoir si c’est une grippe ou le COVID-19, et si cela n’était qu’une vulgaire grippe, et bien cela serait comme si cette personne avait pris un antipaludéen en vue d’un voyage dans une zone de PALU. Pas plus compliqué.
    Et contrairement à ce que l’on veux nous faire rentrer dans la tête avec des grands coups de PUB à la Télé, la Chloro n’a jamais tuer personne. Cette molécule (venant d’un arbre d’un pays d’Amérique du sud) est utilisé depuis plus de 100 ans et récupéré dans les années 50 par l’armée Française et puis synthétisée plus tard. Donc si cette molécule tuait les gens et/ou avait des effets indésirables sérieux, cela se saurait dans le monde entier. Mais nous sommes en France. Et puis c’est une insulte au médecin généraliste qui lui sait comment faire son métier. Et il y a le VIDAL pour la connaissance des médicaments.
    Les médecins généralistes et les autres médecins spécialisés l’utilisent aussi autrement qu’en parasitologie et cela en rhumatologie : traitement symptomatique d’action lente de la polyarthrite rhumatoïde, en dermatologie : Lupus érythémateux discoïde. Lupus érythémateux subaigu. . Traitement d’appoint ou prévention des rechutes des lupus systémiques. . Prévention des lucites.
    Donc si la Chloro était si mauvaise, cela se saurait.
    Et puis nous n’auront jamais le risque Zéro dans ce contexte. C’est quand même bien la médecine qui dit que la Médecine n’est pas une science exacte. Et s’ il y avait 10 cas de décès pour 1000 personnes, je dirais est alors, avons nous le choix. A l’heure ou j’écris (02/04/2020 17h30) nous avons un mort toutes les 3 minutes.
    Donc le bon sens serait de: à “vacciner” tout notre personnel de santé à coup de Chloro et/ou d’autre antipaludéens pour être protégés temporairement comme un vaccin . Et cela pour le personnel hospitalier, qui lui en a vraiment besoin et qui est quand en bonne santé. Et qui est sur place en cas d’effets indésirables et cela pour faire plaisir aux mauvaises fois scientifiques.
    Et puis quand on fait la guerre, on attend pas que l’arme ultime arrive, on fait avec ce que l’on a et on tire le premier dès que l’ennemi arrive, sinon vous êtes mort.
    Les femmes sont plus fortes contre le COVID-19 car les œstrogènes améliorent la réponse immunitaire chez les femmes, mais aussi ceux qui ont un groupe sanguin O présente 33% de moins de risque de contracter l’infection. Ceux qui ont un groupe sanguin A ont 20% de plus de chance à être contaminé par le COVID-19. (infos université de Shenzen)
    Donc nos chères infirmières avec en plus un groupe sanguin O, tout le monde en première ligne (rires) et les hommes et ceux et celles avec un groupe sanguin A en deuxième ligne, tant pis pour vous.
    En ce qui concerne toutes les personnes qui ont été vaccinées pour: La Fièvre Jaune, l’Hépatite B et A, les Typhoïdes A et B, encéphalite japonaise, il y aurait peut être quelque chose à gratter concernant les gens qui serait “peut être” immunisés contre le COVID-19.
    Etant un bon client pour le COVID-19, si j’étais dans une pharmacie pour y faire mes courses pour affronter seul le COVID-19, je prendrais:
    Plaquenil 200mg 30 caps / Chloroquine 500 mg 30 caps 3 boites de chaque
    Azytromicine 250 mg 5 boites de 6 caps
    Doxycycline 100 mg x 3 boites de 30 caps.
    MALARONE 250 mg 100 mg 4 boites de 12 caps
    Ciflox 500mg ou 750mg 12 caps X 3 boites Amoxycycline 500mg X 3 boites

    Mais attention l’automédication peut être mortelle. Donc on peut avoir les médicaments sous la main, cela n’exclue pas du tout de contacter un conseil médical et lui expliquer votre problème. Mais je pense me débrouiller avec ma liste comme je le faisait en Afrique ou j’ai été obligé d’apprendre l’automédication par la force des choses.
    Dans cette démarche que je me suis imposé, je ne peux pas ne pas rester à rien faire si j’ai la forte conviction que je peux apporter quelque qui permettrait de sauver des vies. Et au vu du tas de conneries vu en télévisuel, je me suis dis que je pouvais tenter ma chance,
    “Une vie qui nous échappe peut être acceptable ou supportable mais que seulement si nous avons la certitude que tout a été mis en œuvre pour que cela n’arrive pas. Mais nous sommes et resterons très loin du compte”. Mais nous avons l’habitude sauf que là ce sont des morts dont il s’agit.
    Jeu des questions et réponses:
    1. Est ce que Dr Didier Raoult à raison ?
    Bien sur que oui il a raison et surtout dans le fait de traiter le COVID-19 tout au début et tout ceux qui l’ont dénigré, vous le payer très cher dans les semaines/mois qui vienne. Dr Raoult est déjà connu comme le loup blanc en Afrique. A savoir qu’en ce moment toute l’Afrique prend de la Chloroquine et eux n’ont pas le choix, donc nous allons bien voir qui a raison et c’est peut être de la que la vérité va venir.
    2. Et à part la Chloroquine, vous (moi) le sentez comment, vous prendriez quoi ?
    Comme je l’ai dis plus haut dans ma liste de médocs, mais si je ne pouvais prendre qu’un seul nom de médoc, je prendrais de la Doxycycline 250 mg/500 mg, je vais surement choqué tous les médecins Français, que de risquer ma peau là-dessus, mais là encore, dans le raisonnement, je fonctionne à l’Africaine.
    3. Correction d’information concernant l’association de lopinavir et de ritonavir ou on a nous dit ( encore le 29 mars 2020) qu’il pourrait être la bonne nouvelle , après avoir fait des tests sérieux auprès de 199 cas confirmés de l’infection avec atteinte respiratoire et désaturation en oxygène < 94 %, l'équipe du Dr Cao dans la ville de Wuhan conclut à l'absence de bénéfice sur le temps d'amélioration clinique entre le groupe traité et le groupe témoin. https://www.egora.fr/actus-medicales/infectiologie/58511-covid-19-un-premier-essai-clinique-de-mauvais-augure-pour-le
    Bon, il 20h14 le 02 Avril 2020, j'arrête mon écrit là, si vous avez des questions auxquelles je pourrais répondre, pas de souci.

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