La dernière élection US pour le fauteuil de la Maison Blanche

Le déroulement de la véracité de cette élection m’intéresse depuis un bon moment. Et je ne suis pas le seul par les articles liés au sujet que l’on peut parcourir sur les sites de https://www.dreuz.info/ , https://www.francesoir.fr/ , https://insolentiae.com/ , https://lecourrierdesstrateges.fr/ , https://institutdeslibertes.org/

Inutile d’évoquer les médias Mainstream US et les nôtres sise France qui détestent Mr TRUMP depuis le début et qui ne nous informent plus objectivement depuis bien longtemps.

Par tous les sites « complotistes » cités ci-dessus, on apprend beaucoup de choses sur le déroulé de cette élection, sur le parcours institutionnel qui doit la valider ou pas, sur les voies de recours en considération d’un résultat altéré.

Mais un mur – de Berlin ? – est dressé par le marigot « démocrate » à la manœuvre contre lequel toutes les preuves apportées, les témoignages sous serment – aux States, le parjure relève d’une peine de crime chez nous – de fraudes manifestes, qui ricochent en fin de non-recevoir alors qu’il y a manifestement des voies pour s’interroger et enquêter de manière approfondie.

Le temps entre les résultats de l’élection affichés depuis début novembre et leur officialisation au 6 janvier prochain est relativement court pour instruire l’affaire. Celle du Watergate poussant Mr Nixon en exercice à la démission le 9 août 1974 avait pris du temps.

Mr BIDEN est sorti des primaires du Parti Démocrate comme le « moins mauvais d’entre eux », poussé par Mr OBAMA, suite à l’échec de sa préférée lors des mêmes primaires, Mme Kalama HARISS. Le ticket BIDEN-HARISS devient une autoroute pour socialiser les USA selon les canons du Grant Reset, thème déployé par Eric VANHAEGHE sur son site https://lecourrierdesstrateges.fr/

Le sujet n’est pas d’aimer Mr TRUMP mais de valider le résultat d’élections dans une démocratie représentative de la première puissance mondiale. En dévier le sens par un coup d’Etat possible par les RINOs – Republican In No Name, qui soutiennent les supercheries du parti Démocrate révèle un ambivalent de connivences entre des gens bien introduits qui veulent poursuivre leur carrière selon une doxa de corruptions et de menaces.

Nous avons donc en résultante de ces élections Mr BIDEN, pour l’instant mais plié à 99%, un type du genre Mr HOLLANDE qui a grenouillé dans la politique pendant toute sa carrière professionnelle, avec aucun fait marquant à son actif mais pour reprendre l’expression de feu Mr MITERRAND qui est plutôt un homme du passif.

On est en train de nous expliquer que Mr BIDEN en faisant campagne pour le fauteuil de la Maison blanche principalement du sous-sol de sa résidence principale et qui parfois en ressortait pour faire des meetings loin de brasser des foules a rassemblé le plus grand nombre de votants de toute l’histoire des élections présidentielles US.

Bien à vous.

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