Quand trop d’énergies renouvelables privent la Californie… d’électricité par Michel Revol

L’État a tellement privilégié l’éolien et le solaire que les opérateurs doivent procéder à des coupures de courant, en l’absence de vent et de soleil.

https://www.lepoint.fr/economie/quand-trop-d-energies-renouvelables-privent-la-californie-d-electricite-20-08-2020-2388408_28.php

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2 réflexions sur « Quand trop d’énergies renouvelables privent la Californie… d’électricité par Michel Revol »

  1. Jean-Marc Jancovici a parfaitement décrit et expliqué pourquoi les énergies renouvelables aboutissaient à des ruptures d’approvisionnement en électricité, et parallèlement à un gaspillage budgétaire monstrueux, puisque de toute façon on doit maintenir un système de production capable de couvrir tous les besoins à tout moment.

    De son coté, le climatologue François Gervais (L’urgence climatique est un leurre), même à partir des graphiques publié par le GIEC, montre qu’après une période de réchauffement de 1970 à 1995, les températures moyennes ne progressaient plus depuis 25 ans, alors qu’on a balancé sur cette dernière période dans l’atmosphère 40% de tout le carbone produit par l’humanité. Ses très nombreuses références scientifiques montrent que la couche limite des nuages susceptible d’être réchauffée par convection montre en fait une grande stabilité de température depuis des décennies, que la température des océans est également très stable, que le CO2 même à 300 ppm absorbe de toute façon tout le rayonnement infrarouge de la Terre, et qu’une concentration plus forte n’y changera rien. Il y a un siècle, le CO2 représentait trois molécules sur 10000 d’air sec, ou 10500 d’air humide, maintenant, il va atteindre (peut-être) 4 molécules, une de plus, conséquence défavorable nulle. Cette augmentation a permis d’après un article de la revue Nature une augmentation de la végétation terrestre observée par satellites de 18 millions de Km2 en 33 ans, soit 33 fois la superficie de la France. Car, ne l’oublions pas, la végétation se nourrit de CO2. Bref, les inquiétudes légitimes du 20ème siècle se trouvent largement neutralisées par les données récentes mais le GIEC entretient la paranoïa probablement sous l’influence des fabricants d’éoliennes et de capteurs solaires, mais aussi de toutes les organisations qui soit disant étudient le climat et risqueraient de voir leur budget réduit si l’alarmiste venait à se calmer. Une imposture de plus.

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